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In memoriam: Louis Doutreleau, s.j.

“ Vous vous rappelez la petite collection de papyrus qui se constituait, sans même que j’y songe, autour de moi. Ces papyrus s’appelaient les uns les autres par une sorte de magnétisme : on aurait dit que, depuis leur dispersion, ils regrettaient de n’être plus ensemble et qu’ils avaient trouvé comme un point de ralliement dans mes propres armoires. Écoutez cette histoire.

Je fréquentais volontiers de respectables messieurs qui avaient, en leur vie déjà longue, participé au développement d’Instituts scientifiques. L’un d’eux me dit un jour : « Dans une vieille armoire de notre maison – (elles jouent un grand rôle en papyrologie, les armoires !) – j’ai trouvé des papyrus dont j’ignore l’origine : des rouleaux un peu fracassés et des pages plates, étroites et assez longues. J’ai essayé d’y mettre de l’ordre. Venez voir. »

Je pris un certain temps avant d’aller voir. Mais le jour où il m’ouvrit ses armoires, je reconnus tout de suite des papyrus de Toura. Il les avait bien traités. Mes yeux éblouis contemplaient alors près de 80 pages, de plusieurs écritures, bien lisibles, bien nettes : une redécouverte inattendue ! Je dus me contenter de féliciter leur heureux possesseur, tandis que les papyrus retrouvaient leur armoire.

Deux ans passent. Je le rencontre plusieurs fois, nous n’en parlons plus. Un jour, il vient à ma recherche, un paquet dans les mains « Tenez ! me dit-il, les voilà ! » Je reste interloqué… Il me les tend. « C’est sérieux, je ne veux plus les garder. Ils vous seront utiles, ils sont à vous ! » Discussion : il a de graves raisons ! Je comprends que le ciel peut lui tomber sur la tête… Il me convainc. Je prends les papyrus. J’y mets une condition : il viendra les chercher si le ciel devient serein, quand il voudra.

Je me mis au travail, car il y avait des textes qui complétaient les lacunes de ceux dont j’avais commencé la lecture…

Longtemps après, le revoilà, la mine un peu basse. Vous devinez pourquoi…! Je lui rends les papyrus, sans plus. Il s’excuse. Je me demande ce que deviennent les papyrus ? Il ne m’en a rien dit…

J’ai su plus tard où avait passé la moitié de ce lot. Se tenait alors en Europe un Congrès de Papyrologues : un des membres du Congrès m’aborde, me parle de ce texte, de son grec tardif, des Psaumes qu’il commente… Il l’a déchiffré… Mais il se demande en professeur de grec ce qu’il pourrait en faire. J’ai pu lui donner des éclaircissements. Comme le texte appartenait à un ensemble dont il n’avait pas la disposition, il a renoncé à le publier lui-même.

Et l’autre partie du lot ? Si invraisemblable que cela paraisse, il se retrouva anonyme- ment versé dans les armoires du Musée. Mais il fut,– bien plus tard – , reconnu et doté alors d’un numéro d’inventaire. Le ciel ne pouvait plus tomber sur la tête du timoré détenteur.

J’apprends un jour discrètement qu’un collectionneur, bien connu des antiquaires sur la place du Caire, détient un lot de papyrus de nature à m’intéresser.

Travaux d’approche pour la rencontre. Les intermédiaires sont favorables. Il est convenu d’une heure où je pourrai me présenter le lendemain. Je me prépare.

Le lendemain, à l’heure du rendez-vous, on me retient… J’apprends que le patriarche de la famille est décédé dans la nuit ! Mes espoirs s’évanouissent. Pourront-ils lui survivre ?

Ils ne sont pas complètement perdus, mais le deuil les a reportés à une date que nul ne peut prévoir. Je n’ignore pas que l’Administration est rigoureuse en ce pays et que les expertises donnent lieu à des écarts qui requièrent toujours une série de contre-expertises, qu’on fait suivre de séances de conciliation qui n’en finissent plus, surtout si l’un des experts multiplie par dix l’estimation de l’autre. Je m’attends à des retards disons pharaoniques. Mon temps de professeur au Caire suffira-t-il pour soulever la lourde dalle administrative qui pèse sur mes espoirs ?

J’enquête toutefois dans l’entourage de la famille. Je me fais connaître. La famille reste favorable, mais les contraintes légales du règlement de l’héritage interdisent de déplacer quoi que ce soit. Attendons !

La grande presse se fait l’écho des discussions d’experts. Il paraît, du moins on le dit dans cette presse, que les experts étrangers ne sont pas qualifiés pour les antiquités égyptiennes. On multiplie les raisons. Ça traîne, ça traîne ! Qu’y a-t-il là-dessous ?

Les jours passent ; les années…Devra-t-on recourir à l’Amérique, qui a, dit-on en politique, le don de concilier les inconciliables ? Quoi qu’il en soit, un jour, dans la cour d’entrée, deux jeunes hommes me demandent. Je ne les connais pas. En souriant, l’un me tend un fort coffret en bois et me dit simplement : “Ils sont là !”, comme si c’était la conclusion d’un long entretien.

Je n’en reviens pas. Ils me disent que les scellés sont levés et que tout est à ma disposition. Tout ? Qu’est-ce à dire ?

Eux-mêmes n’ont pas regardé : le coffret est rempli, tel que les experts ont pu le voir. Il paraît qu’ils ne l’ont pas touché. Je déballe un peu, j’étale ; chaque petit groupe est enveloppé dans du papier pelure, j’essaye de compter ; cela me dépasse. Plus tard, lors de comptes minutieux, je saurai qu’on arrive, en rapprochant les fragments, à 418 pages. Vraiment, la fée des papyrus a présidé à toute l’opération. Je prends à témoin mes deux bienfaiteurs. Ils découvrent les choses en même temps que moi : je leur ferai un relevé détaillé. Ils gardent, bien sûr, la propriété des papyrus, mais ils me laissent celle du texte.

Ce jour-là, dans toute la ville du Caire, auriez-vous trouvé un papyrologue plus heureux. ?

Dès lors, le bonheur réside dans le travail. Il se trouve enfermé dans la masse des vieux écrits. Plus ceux-ci sont nombreux et
divers, plus difficiles à déchiffrer, plus délicats à rapprocher les uns des autres, fragments par fragments, plus alors apportent-ils de satisfactions dans le dévoilement des secrets qu’ils contiennent. C’est donc avec une certaine gourmandise que je me mets au travail.

Je sors pieusement de la caisse les petits paquets enfermés dans du papier : autant qu’on a pu, on a laissé aux papyrus eux-mêmes la forme qu’ils avaient au sortir de la grotte : bien étalés les uns, mais combien d’autres recroquevillés, roulés, pliés, cassés, ou réduits en fragments disparates ! On comprend que les uns soient des feuilles à plat, mais pourquoi l’enroulement, le sectionnement, l’attache des autres ? On se doute qu’il y a eu, à la mise en dépôt jadis dans la grotte, des choix, des intentions, des réprobations… Peut-être que l’on pourra savoir, par la présence et la teneur des textes, s’il y en eut d’éliminés ? Et si c’est à Origène qu’on en voulait, pourquoi en avoir gardé quand même quelques textes – dont le fameux Dialectos inédit – et avoir sauvegardé un grand nombre de commentaires didymiens sans grande importance ?

Ainsi se pressaient les pensées du papyrologue au cours de la longue inspection des éléments du coffret : travail de micro-heuristique, soulevant une poussière de questions insolubles au départ, mais qui devraient la plupart du temps trouver leur solution dans la suite.

J’ai cependant un travail d’une autre sorte. Si je le manipule, si seulement je le touche sans précaution, mon papyrus se casse, les bords tombent, de minuscules fragments se détachent, de plus gros aussi,…pertes souvent irrémédiables ! Alors, de papyrologue-qui déchiffre je me fais papyrologue qui menuise. O. Guéraud, ancien conservateur au Musée, m’avait averti : «Vous devrez vous faire une caisse qui se ferme. Vous y étalerez, sur une grille qui ne rouille pas et qui surplombera des bacs humides, les papyrus que vous aurez à dérouler. »

Va pour la caisse ! Elle m’a effectivement rendu de grands services. S’il avait fallu me contenter de la méthode des paysans pour humidifier les papyrus, j’aurais acheté des feuilles de chou – elles restent humides plus longtemps – ; je les aurais mélangées sans pitié aux papyrus, et j’aurais vendu ces derniers souples comme de l’étoffe.

M es papyrus ne sont pas à vendre, mais d’où viennent-ils ?

On se souvient des rafles de la police dans les jours qui ont suivi la découverte. Au bout d’un certain temps, elles cessèrent, et les premiers détenteurs purent vendre ce qu’ils avaient réussi à dissimuler. Tel antiquaire reçut d’un collectionneur la charge de se procurer tout ce qu’il y avait sur le marché : ce furent les 418 pages mentionnées plus haut.

De petits moyens m’ont permis de réaliser la caisse d’humidification. Mais une fois dépliés les papyrus, une fois agencés les fragments et réalisé le puzzle de chaque page, où mettre, où garder, où préserver les résultats laborieusement acquis ? Entre des plaques de verre ? on a vu plus haut à quoi cela aboutit… Entre des buvards ? c’est provisoire…

J’ai consulté mes généreux donateurs. J’aurai ce qu’il faudra pour mettre le tout sous cellophane, et même pour photographier les textes qui m’intéressent le plus. J’ai plaisir à dire ici la reconnaissance que je leur dois. Sans cet encouragement, mon fonds de papyrus serait resté muet. De beaux débris qui auraient jonché les armoires une fois de plus, des ossements desséchés comme ceux d’Ezéchiel sans l’esprit qui les fait revivre !

Du fond de l’Allemagne, justement, me parvient un appel au secours. Ils ont là-bas, eux aussi, leurs papyrus de Toura, car tout ce qui a été ramassé parallèlement aux papyrus destinés au Musée , n’est pas resté en Egypte. Il y a donc en Allemagne une page étrangement déchiquetée, impossible à lire, puisqu’on lui a enlevé une large surface, comme on enlèverait le fond d’une assiette. Ils me demandent si je n’ai pas, par hasard, ce fond qui serait la seule façon – qu’on m’excuse de l’image ! – de remplir leur assiette. J’ai beau chercher, il n’est pas dans ma caisse.

Mais j’ai vu, un jour, dans mes débuts, lors d’une visite inopinée chez un homme cultivé, un fragment de papyrus qu’il m’a laissé recopier. Pour lui, pour moi, c’était une sorte d’inutilité, comme un amusement. Mais lui, il tenait à la pièce ; il la gardait ; moi, je tenais au texte ; je le mettais en réserve. Et voici qu’aujourd’hui en comparant les deux textes, le fond de l’assiette du Caire s’adaptait parfaitement au bord de celle de Cologne. Heureuse complémentarité !

Ce fut le début d’une collaboration qui alla bien plus loin, puisque Cologne sut admirablement faire honneur au menu dont cette assiette pouvait apparaître comme un symbole ! Je ne dirai pas ici la bonne vingtaine d’ouvrages que l’Institut für Altertumskunde zu Köln a consacrés aux Papyrus de Toura, mais je me dois de remercier le Professeur Reinhold Merkelbach de m’avoir associé avec beaucoup d’honneur à la publication du travail de son équipe sur les textes de Didyme.

Mon bonheur de papyrologue s’étalait, au long des jours, sur les papyrus du coffret, déroulés sans casse grâce à l’humidité. S’accroissait aussi chaque jour la satisfaction de reconstituer des pages entières avec des fragments dispersés. C’est un plaisir de révélation , cette recherche qui fait émerger ligne par ligne et parfois mot par mot, les textes enfouis depuis si longtemps au plus profond de la terre ! Personne ne devrait venir troubler le savant penché sur sa découverte ; il est aux prises avec le passé, et dans cette lutte où rien ne presse, il a besoin du calme qui conditionne l’exactitude de ses prises.

Il était facile de ranger les grandes feuilles ; elles avaient été numérotées autrefois, et leur écriture ainsi que leurs dimensions imposaient de les attribuer à cinq codex différents. Par la numérotation ancienne, il était possible de compter les pages qui manquaient.

Cela valait pour les pages entières. Mais les autres, celles qui ne portaient pas de numéro, c’est-à-dire cet ensemble de fragments qui jonchaient proprement le fond de la corbeille ?

Pour eux, le papyrologue se transforme en restaurateur de mosaïque. Tous les indices sont bons pour rapprocher les morceaux : l’écriture, le sens des mots, lisibles ou mutilés, la forme de la cassure, l’encrage, l’orientation des fibres du papyrus… ; aucun de ces indices ne peut être négligé pour une restauration authentique. Mais le papyrologue doit aussi faire preuve d’intuition ; il lui faut entrer dans l’illumination de son texte, prendre le même esprit que l’auteur dont il dégage les pensé
es. Il lui faut cerner patiemment les mots découverts pour retrouver, pour deviner, puis implanter les autres, qui se cachent ou qui sont perdus. Il lui faut faire siens le style et les manières de son auteur.En un mot, être tout entier présent à un passé qui joue à cache-cache avec de l’infinitésimal. Regardez notre homme : une légère pince entre les doigts, il place et replace les fragments les uns à côté des autres, forme des mots, juge de l’ensemble, ne s’en satisfait pas, recommence avec d’autres : il restaure. C’est un art. Et cela m’a pris beaucoup de temps.

Et si je vous en parle, si vous comprenez qu’il faut du temps et de la tranquillité d’esprit pour cette remise à la lumière d’un texte ancien, vous comprendrez mieux quel trouble et quelle frayeur balayèrent la tranquillité de mon esprit quand, à cette époque, au Caire, surgirent de tous côtés, en l’espace d’une matinée, des séditieux prêts à ravager loisirs et culture qui n’étaient pas les leurs. Ce fut l’une des plus grandes frayeurs de ma vie. Didyme faillit y perdre sa renaissance. L’Egypte changeait de régime. Dans l’entre-deux, la ville, livrée aux émeutiers, se couvrait d’incendies. Nous étions environnés d’immeubles et de maisons en feu. Nous-mêmes sans protection, nous risquions le pire. Ma préoccupation allait aux papyrus : le coffre-fort où je les avais enfermés n’eût pas tenu longtemps dans un brasier général. Alors, me disais-je, un passé, déjà si miraculeusement préservé, allait-il devenir de la fumée ? Quel poids d’intérêt pouvaient représenter à l’esprit des incendiaires les mini-fragments qui se balançaient au bout de mes petites pinces ? On devine quelles furent mes préoccupations de ce moment.

Heureusement que les événements tournèrent court ! Les émeutiers passèrent à grands cris et grandes menaces. Les papyrus, derrière leurs portes cadenassées, sourds au présent, ne se doutèrent de rien !

J’avais eu en Égypte avec Toura une aire de travail assez vaste. J’y avais ouvert, peut-on dire, quatre chantiers : celui de Didyme au Musée, celui des 80 pages qui fut provisoire, celui du coffret et celui des aubaines imprévisibles.

Au chantier du Musée, après avoir partagé, dans les débuts, la mezzanine photographique avec Jean Scherer, qui s’était donné pour tâche de vider Toura de son contenu origénien, j’étais d’abord seul à régir les textes didymiens. De ces derniers, les uns, on se le rappelle, étaient montés à la photographie, mais les autres dormaient encore dans les armoires, attendant les fées qui devaient les éveiller. Des fées, il y en eut effectivement, dès lors et plus tard, mais saluons-les de loin. Je voudrais seulement, puisqu’il y eut place pour deux dans le premier chantier, dire ma dette envers un compagnon laborieux et avisé qui me fut associé plusieurs années, Jean Aucagne, s.j. ; je lui dois, comme je l’ai dit quelque part, une allègre progression de mon chantier Didyme-Zacharie.

Quant aux autres chantiers, il ne faut retenir que celui du coffret des ‘418 pages’, qui m’a demandé un soin constant aussi longtemps que je pus y mettre de l’ordre et reconstituer des pages en miettes ; mais il m’a causé, hors d’Egypte plus tard, un souci que je vais dire plus loin.

Pour les commentaires des Psaumes, de la Genèse et de l’Ecclésiaste, qui se partageaient tous trois et le Musée et le coffret, quelques chercheurs avaient obtenu, – ce qui était conforme à mes conventions initiales avec les propriétaires – communication de tout ou partie du texte didymien. Ainsi,en partant, je laissais les choses en ordre, je remettais l’intégralité du coffret à ses possesseurs,et je quittais Le Caire, conscient d’avoir donné à la papyrologie beaucoup de passion, d’y avoir acquis beaucoup d’expérience, et d’avoir été utile à plusieurs chercheurs.

Mais puisque l’heuristique en papyrologie m’avait imprégné jusqu’aux fibres, je ne me retenais pas, rentré en Europe, d’aller visiter les ‘stations’ papyrologiques de ma connaissance. Ainsi j’eus la surprise, un jour, de me trouver en présence des ‘418 pages’, bien groupées, bien rangées, bien en ordre.

Bien rangées, soit ! Mais surprise, et de taille ! il manquait la première page, la page de titre, à l’un des codex.

Toutes les fois que j’eus besoin de me référer à cette page, je butais sur cette absence. Nul ne savait ce que la page était devenue. Restée au Caire ? Impossible. Je me disais que comme il y a des esprits frappeurs, il y a des esprits reteneurs en papyrologie ! C’est en Espagne que l’on sut finalement que s’était envolée notre feuille. Un vent contraire, un jour; l’a fait revenir. Et comme les vents balayent aujourd’hui toute l’Europe, des souffles inattendus ont provoqué, depuis, un nouveau départ. Le codex repose maintenant sous sa page de titre, avec d’autres de ses congénères, loin, bien loin de sa patrie, en Espagne.

Quelques lots de Toura, par mégarde sans doute, ou plutôt sur les instances mal informées de l’ antiquaire égyptien, avaient pris le chemin des Papyrus Bodmer. Toura n’était pas de taille à voisiner avec Homère ou avec un saint Jean du 4e siècle. Mais M. Bodmer avait tout de même recueilli les membra disjecta d’un commentaire des Psaumes qui aurait pu faire l’objet d’une publication, et il avait confié la chose à M. V. Martin. Au moment où nous en sommes du récit, le travail, qui a commencé chez M. Bodmer, a changé de main, et il me serait utile d’avoir de bonnes photographies du texte pour assurer les lectures de celui qui doit le publier.

Je servais d’intermédiaire et je savais les difficultés particulières inhérentes à cette opération de photographie : il fallait surmonter la pâleur de l’encrage et déployer des bords encore repliés. Il était toujours à craindre que quelque manipulation imprévue n’endommageât le papyrus. Un photographe ordinaire y répugnait à cause du caractère précieux et fragile du support ancien.

La secrétaire de M. Bodmer, consultée, trouvait que pour la photographie elle aurait à passer beaucoup de temps, d’autant qu’elle avait à cœur de surveiller l’opération contre un larcin possible : – « Mais si, dis-je à M. Bodmer au cours de la conversation, je me chargeais moi-même de la chose ? Je connais un atelier de photographie qui m’a déjà rendu pareil service. Il est loin, mais accessible. » Je ne songeais pas à l’atelier d’Ahmed ! En revanche, je songeais aux précautions dont s’entourait le Musée du Caire pour me laisser – sous surveillance, bien entendu ! – quatre feuilles de papyrus par séance de travail ! Or ici, la confiance de M. Bodmer fut instantanée et totale.

– « Eh bien, Mademoiselle, préparez un paquet pour le Père. Il les emportera. » Sur mes assurances, sans restriction aucune, il me confia d’un coup une cinquantaine de page
s de papyrus. Je les emmenai. Sur parole, je devais les rapporter dans les trois mois.

Ils furent photographiés de la manière la plus satisfaisante chez mes amis papyrologues de Cologne. Ils revinrent cependant – une indisposition avait changé la date du retour – au bout de six mois. En leur prêtant mes pensées, je puis dire que conscients du témoignage de générosité et de confiance qu’ils ont silencieusement apporté par leur histoire, ils ont depuis lors dormi sans regret au milieu d’une collection qui a su leur donner une place honorable.

Je devais rendre visite au Directeur Général des Antiquités Égyptiennes. C’était un homme aimable et savant. Il avait été détaché de son office au Musée du Louvre pour tenir ici le rôle de Directeur Général. Il recevait volontiers. Pour ceux qui l’ont connu, pour ses compatriotes, il était aussi le Chanoine Etienne Drioton.

L’époque était aux papyrus gnostiques ;on venait de les découvrir dans une jarre près d’un lieu dit Nag Hammadi. Comme à Toura, c’était une découverte massive : 13 codex, disait-on . A l’époque où je pénétrais dans le bureau du Directeur Général, ils avaient déjà fait parler d’eux. Les paysans qui les avaient trouvés avaient évidemment cherché à les vendre. On en avait vu au Caire, notamment au Musée Copte où on avait fait acquisition de l’un d’eux. Cela, et le bruit fait autour, avait alerté les services de la police des Antiquités. A la suite de nombreuses tractations, celle-ci, opérant en Haute Égypte, finit par réunir et rapatrier l’ensemble des 13 volumes de la jarre, ici même, au bureau du Directeur Général. Ils étaient bien gardés. Il devait en être fait une évaluation préalable pour récompenser par espèces sonnantes le bon vouloir des découvreurs qui les avaient remis au Service des Antiquités.

A mes questions, M Drioton, sans hésiter, se retourna derrière lui et, d’un geste vif, tira un large rideau. Apparut un grand coffre, en métal autant qu’il me souvienne, au couvercle bombé. Les 13 codex étaient dedans. Le Directeur Général se réjouissait de les savoir tous là. La trouvaille avait été moins dispersée que celle de Toura, et on pouvait penser que les spécialistes allaient bientôt pouvoir en tirer de grandes lumières pour la science.

Il ne savait pas tout, M.le Directeur Général. Plus tard, j’eus les confidences de Tano, de Tano en personne. Je les rapporte comme je les reçus .

Tano, antiquaire bien connu au Caire et très répandu dans le pays, avait, en Haute Égypte, par lui-même et par ses rabatteurs, été très actif au moment de la découverte. Il s’y était impliqué dès le partage, connaissant des débouchés, ayant de l’argent et de discrets moyens de transport… Ce lui fut facile, et juste, pensait-il, de faire ce qu’il fit. Alors, tandis que le Directeur Général se félicitait du regroupement des 13 codex, lui, sans toucher au nombre de 13 reconnu par tous, s’envola vers l’Amérique avec un des codex, et non le moindre, dans ses bagages. Il allait essayer de le vendre. L’Amérique, du premier coup, n’en voulut pas. Il fila au Japon ; au Japon, c’était plus cher, car les Japonais payaient mieux les choses de l’Occident; il doubla la mise, mais les Japonais furent insensibles. Il revint donc en Amérique : il tripla les enchères. Ne pensez pas que ce fut au risque de revenir bredouille. Il savait que les Américains n’en voudraient pas, mais il avait fait monter les prix, c’était là son astuce.. Alors il se tourna vers la Suisse, où pendant qu’il faisait le tour du monde, ses agents avaient travaillé de manière à intéresser l’ Institut Jung de Zurich, et c’est en Belgique qu’il négocia à son profit ce qu’on a appelé le Codex Jung.

Tout cela a été dit, mais dans un autre style.On le trouvera notamment dans l’Introduction et les articles que J. M. Robinson a consacrés à The Nag Hammadi library.

Il me reste à dire ce que fit Tano sans que le nombre 13 ait été affecté, autre astuce.

Oh, tout simplement, il divisa en deux – c’était facile sans qu’on le remarque, – le codex qui se présentait à côté du sien, qu’il enleva. Il y en avait toujours 13. Avant qu’on en fît l’étude, personne ne se douta de la supercherie.

Il me dit à peu près, c’était sa justification : « Vous comprenez ! pour vivre avec le magasin, je ne peux pas compter sur les scarabées ou les vases trouvés dans les tombes ; les petites pièces ne suffisent pas à me faire vivre. J’ai une famille. Alors, suivant les cas, je choisis une pièce importante et je fais porter tous mes efforts à bien la vendre. Ainsi, peut se maintenir encore la boutique d’antiquités à mon nom ; il y a cent ans que les Tano se sont installés ici, au pied duShepherd, le grand Hôtel qui a disparu lors de l’incendie de la ville. »

C’est alors, vous vous le rappelez, que mes papyrus de Toura eurent si chaud….

Ajoutons que le ‘codex Jung’ ne pouvait pas tomber en de meilleures mains qu’à l’Institut de Zurich. De là, grâce aux savants, il a été connu de toute la terre.

Sortons de Toura pour conter ces deux dernières petites histoires, car il y eut en Égypte, au temps de mon séjour, d’autres découvertes.

Une sorte de motte de terre, dans les années 70, circula entre des mains de paysans et l’œil attentif de certains antiquaires. On la prenait pour une « antiquité ». Des brins de paille dépassaient, grossièrementés cimentés par de la boue. L’apparence n’allait pas sans mystère. Qui le résoudrait ?

Monsieur François Daumas, alors Directeur de l’Institut Français du Caire, eut l’occasion, il me l’a raconté, de l’examiner. A supposer même que ce pût être un bijou ou un scarabée d’or ou une petite sculpture en ivoire – ou un texte, mais ce n’était guère possible –, rien ne laissait deviner à première vue la nature de l’objet, ni sa valeur. Comment miser sur un tel déchet ? Le Directeur de l’Institut Français aurait été bien aise de pouvoir le faire. Mais comme Directeur, il n’était autorisé à dépenser qu’une modeste somme, dérisoire en regard de ses fonctions, dérisoire en tout cas au regard de la somme qui lui était demandée. Il lui aurait fallu alerter les autorités en haut lieu et, à supposer qu’on prenne sa démarche en considération, attendre de Paris qu’on inscrive la somme au budget de l’année suivante, attendre ensuite qu’elle soit débloquée, puis versée… Comme c’était l’époque du contrôle des changes, autant dire que tout était prévu pour décourager l’initiative, pour voir l’occasion s’envoler,et jurer, mais trop tard, que l’on ne s’y ferait plus prendre.

Le
s concurrents ne manquaient pas. L’un d’eux, tenace dans son inspection, remarqua une surface sur laquelle il devina, autant qu’il lut, des syllabes de noms propres orientaux. Cela lui suffit pour se risquer à l’acquisition anormalement élevée de ce « paquet de boue ». En l’espace de huit jours, il convint de l’onéreuse transaction, il trouva un mécène, il franchit les barrières du contrôle des changes et il entra en possession de la chose la plus banale et la plus inattendue : un livre, – mais un livre extraordinaire, de la dimension d’un timbre poste (4 cmh sur 3,5 cml), contenant sur près de deux cents pages ce qu’on a appelé sur le moment l’Évangile de Mani, mais pour faire plus juste ensuite le Mani codex de Cologne. Chaque page contient, si elle n’est pas abîmée , 20/24 lignes, et chaque ligne 15/18 lettres. Une cinquantaine de pages sont très abîmées. Mais c’est un livre à la fois volumineux et minuscule, un livre important qui révèle les origines, restées dans l’ombre, de Mani et du manichéisme, un livre que l’on n’attendait guère sur les bords du Nil. L. Koenen, son inventeur, en a donné à Bonn en 1985 une parfaite édition, en même temps qu’une reproduction diplomatique.

Mais avant de clore cette histoire papyrologique et d’en saluer de loin celui qui en a été l’acteur, il convient de dire que ce livre est écrit sur parchemin. « Sur parchemin ? » me direz-vous. Eh oui ! car vous n’ignorez pas que ces petites choses – ces choses qui passent pours petites ! – ont été rangées, disons pour détenir un statut scientifique, dans la catégorie des papyrus.

Rendez-vous dans la banlieue du Caire ! Un endroit, mi brousse mi ville, où je n’avais jamais mis les pieds. Des murs salis entourent une sorte de ferme où caquettent à l’envi poulets et canards. Avec mes compagnons, je m’avance à travers les flaques en choisissant mes pas. La maison est au fond, banale, mais à l’écart des mares boueuses. Le bruit a fait sortir le maître. Un individu dont la figure, parmi les fellahs des alentours, ne se caractérise pas. La barbe, hirsute, pousse en pointe. On craint, on imagine quelque rebuffade. Mais non ! Il fait entrer, met à l’aise comme on fait si bien en Orient – fadd’al ! – Et puisque, d’entrée de jeu, nous lui disons que nous venons pour les papyrus, il prend un air entendu et disparaît. Le temps d’examiner le divan tout simple où nous nous trouvons, et le voilà de retour. Il tient dans chaque main un foulard noué aux quatre coins, au contenu assez rebondi pour se faire remarquer.

Ouverts sur la table, ces deux paquets libèrent leurs papyrus. Ils libèrent aussi, croyez-moi, l’imagination du papyrologue qui les découvre pour la première fois. Que recèlent tous ces textes qu’on avait précieusement enfouis dans une jarre ? Toutes les suppositions sont possibles ; tout paraît authentique, sans prix pour le moment, sans critère d’appréciation, sans unité, mais s’offrant avec abondance et variété. Ce qui me frappe d’abord, c’est le mélange de papyrus en partie brûlés, ou qui, du moins, paraissent porter des traces de brûlé sur les bords, avec les autres qui ont été épargnés et sont de bonne présentation ; des formats de toutes sortes, petits formats plutôt si je les compare aux larges quaternions de Toura ; des formats carrés, des formats allongés, de dimensions modestes. Mais que contiennent ces textes dont l’encre n’a pas pâli, ces écritures grecques parfois épaisses, d’autres fois élégantes dans leur finesse et leur régularité ? Elles ne seront pas difficiles à lire pour un paléographologue.

Je n’ose pas prendre beaucoup de notes. Notre hôte ne dit rien. Il ne faut pas avoir l’air d’être trop intéressé, il renchérirait sa marchandise !. Mais à mes yeux, c’est un véritable trésor, qu’il a sorti de sa cachette pour nous.

Je demande à toucher, je le fais avec les précautions que vous pensez. Je soulève une liasse épaisse, serrée, mais déchiquetée sur les bords. M’apparaît alors en dessous, avec la même netteté que les photographies montreront plus tard, le colophon du Dyscolos, c’est-à-dire la formule finale de cette pièce du comique Ménandre. On en connaissait le titre sans connaître le texte. Or le texte se trouvait là, intégral, dans une mise en page soignée qui mettait en vedette le nom des personnages et l’intervention du chœur. Il n’y avait pas à s’y tromper ; je soulevais les pages, je lisais les noms, l’ombre de Molière planait sur la découverte. Discrètement, je le notais sur mon papier, mais un regard réprobateur de notre hôte dissuadait de trop écrire.

Il y avait le reste, tout le reste trop abondant et divers pour me retenir dans les détails, – trop en tout cas pour tout inscrire sous les yeux de notre hôte–, mais en écartant les catégories les unes des autres, je tombais en arrêt sur une dizaine de feuilles pliées en deux – ce qui fait une quarantaine de pages – formant ensemble un carnet retenu en ordre par la pliure du milieu. C’était de l’Évangile. Malheureusement mutilé. Par ses premières pages, il témoignait de la fin de Saint Luc et, par les autres, des premiers chapitres de Saint Jean. Plus tard, il sera reconnu que j’avais affaire à une des séquences d’évangile les plus longues parmi les plus anciennes, celles de la fin du 2ème /début du 3ème siècle. Pièce rare. Les experts, les exégètes, la reconnaîtront sous le sigle de P75 dans les éditions critiques du N.T.

Tout ne m’apparut pas dès le début avec cette netteté, mais je savais que j’étais tombé, dans ce fourre-tout d’un paysan sans lettres, sur d’importants témoignages de culture humaine et religieuse. Le cœur, dans ce cas, trahit l’émotion sans le vouloir. Avec un peu de fébrilité, j’essayais de dégager les autres pièces du tas ; aucune ne rivalisait d’importance avec les premières. J’eus quelques mots alors, sur un ton calme, pour dire à mes compagnons la bonne impression – il fallait être modeste – que je retirais de cet ensemble passablement hétéroclite. Elle ne pouvait pas être meilleure, ils l’avaient compris.

Et déjà, ils avaient entamé les discussions d’argent. Ce n’était pas mon affaire. J’ai su qu’ils n’étaient pas les premiers à marchander. Notre homme tenait à ses conditions : il devait marier sa fille sous peu ; – on sait quelle dépenses un mariage entraîne en Égypte ! – il voulait une forte somme en argent suisse et il déclarait que le premier à lui remettre l’argent serait celui qui obtiendrait les papyrus.

Le reste se fit sans moi. On peut lire aujourd’hui le Dyscolos dans la collection des Universités de France et l’on trouve les variantes du texte de Luc et de Jean dans les éditions critiques du Nouveau Testament.

Adieu, lecteur. Le mot d’« heuristique » ne t’a pas effarouché. Tant mieux ! Au niveau le plus simple de la recherche, il se décline en ‘petites histoires’. Le papyrologue d’occasion que j’ai été a pensé partager les joies de son métier en en contant quelques-unes, sans les priver du sel qui en avait, au jour l
e jour, relevé la saveur. Veuillent ceux qui ne sauraient en sourire ne pas lui en tenir rigueur ! ”

Louis Doutreleau, s.j.

[Useful Sites] Cercle Catholique Syriaque

Nous publions ici la liste essentielle mais non exhaustive des textes passés sur le site depuis sa création. Certains de ces textes sont également accessibles, par la notice de l’auteur dans l’annuaire des syriacisants.

Lettre du Père Elie Wardé, Curé de Saint-Ephrem le Syriaque
Hommages du Pape au Patriarche démissionnaire
Après la rencontre, le Patriarche Ignace Pierre VIII Abdel-Ahad présente sa démission
qui est acceptée.

Rencontre émouvante des deux Patriarches, Ignace Pierre VIII Abdel-Ahad et de Mor Zakka Ier Iwas
Discours en faveur de l’Orient – Monseigneur Dupanloup – 1862
Découverte d’une Eglise à Ain Tamour
Conférence de Francoise Briquel-Chatonnet sur l’origine des Eglises d’Orient
Prescriptions liturgiques du droit Canon des Eglises orientales
Irak : L’émigration des chrétiens devient un exodePar Mgr. Jean Sleiman
Portrait d’Ignace d’Antioche par le Saint-Père
La Poésie syriaque, fille d’Edesse – Par A. Brunot
Gloire et déclin de l’Eglise d’Edesse – Par le Père Jules Leroy
Edesse avant le Christianisme – Par J. Starcky
Cérémonie d’installation du Père Elie Wardé comme curé de Saint-Ephrem le syriaque – photographies
Chrétiens et minorités en pays musulmans : le cas de l’Irak – Par Monseigneur Jean Sleiman, Archevêque de Baghdad pour les Latins
Deir Mar Musa, une communauté catholique, syriaque vouée à la communion interreligieuse
Petite biographie sur Saint Ephrem
– Mgr. Basile Ephrem Hikary
L’Office syriaque du Jeudi Saint – Eglise Saint-Ephrem Le Syriaque (Paris)
Le Temps Pascal dans la Liturgie syriaque – Par Romain Lanchon
Les Dimanches du Carême dans le Rite syriaque – Par Jean Tomajean
Portrait d’Ignace d’Antioche – Par le Saint Père Benoit XVI
Les enjeux de la séparation de l’Eglise et de l’Etat – Conférence de Mgr. Cl. Bressolette
Grégoire III (Patriarche melkite) invite tous les États arabes à assurer l’égalité civique et la liberté religieuse à leurs ressortissants chrétiens
Une Rencontre avec l’Irak : Mossoul, ses Eglises et les villages chrétiens – Une vidéo par le Père Jean-Marie Mérigoux o.p.
Irak : “Chrétiens, enlevez vos Croix” : la vie des chrétiens devient impossible.
Une grammaire syriaque sans racines – Par le Prof. Georges Bohas
Le Propre dans l’Eglise syriaque – Par Mgr. G. Khoury-Sarkis
Les Eglises syriaques : Histoire et Situation présente – Par Mme Françoise Briquel-Chatonnet et le Professeur Harald Suermann – Université de Bonn
La Bénédiction de l’enscens dans l’ Eglise syriaque
La sanctification des sens par la Communion
La Bénédiction de l’Eau, la nuit de l’Epiphanie, dans le rite syriaque d’Antioche – Par Du Boullay et le Père G. Khoury-Sarkis
Prières de la cérémonie du mariage catholique syriaque – Traduites Par J.M. Sauget
Explication du mariage selon le rite catholique occidental – Par J.M. Sauget
Pourquoi trouve t-on dans les Eglises de langues syriaques des oeufs d’Autruche suspendus dans le sanctuaire?
A quel moment de la messe syriaque se ferment les rideaux?
Qui était Dom Puyade pour l’Eglise Catholique Syriaque? – Par Dom Anselme Chibas-Lassalle o.s.b.
Hymne de Saint-Ephrem sur la Nativité – Par le Frère Alphone
Dimanche de la Dédicace dans les Eglises syriaques – Par Dom B. Botté O.s.b.
L’Orient Chrétien au IVe siècle – Une conférence de Mr. Christian Mesnard
L’approche holistique dans la connaissance chez Saint-Ephrem de Nisibe – Par Adib Gabriel Hathout
Un important foyer syriaque : Europos et Tell Amarna – Du IVe au VIIe siècle – Par Frédéric Alpi
Exode des Chrétiens d’Irak – Par Chris Kutchera
Eglises et Monastères de Mossoul et de sa région – Par le Père Jean-Marie Mérigoux o.p.
Visage araméen de l’Eglise – Par le Père Jean-Marie Mérigoux o.p.
L’Eglise Catholique en Egypte aujourd’hui – Par le Père Jean-Marie Mérigoux o.p.
La ville du Caire aujourd’hui – Par le Père Jean-Marie Mérigoux o.p.
Alexandrie, une métropole chrétienne – Par le Père Jean-Marie Mérigoux o.p.
Les Patriarcats dans l’Eglise Catholiques – Par le Père Jean-Marie Mérigoux o.p.
A propos de l’hémine de vin – une source inexplorée? Les canons de Maruta – Par Soeur Véronique Dupont o.s.b.
Deux hymnes chantés durant l’Office maronite du soir – Traduits par le Père René Lavenant s.j.
Etre sous-diacre est une vocation florissante dans l’Eglise Catholique Syriaque d’Orient – Interview de Georges Hadaya
La traduction des oeuvres des Pères grecs – Bilan à l’aube du XXe siècle – Par Rubens Duval
L’Expansion de l’Eglise Syriaque en Asie Centrale et en Extrême-Orient – Par Jean Dauvillier
L’Inculturation chez les Pères de l’Eglise – Une conférence de Soeur Véronique Dupont o.s.b.
Le silence dans la théologie et la conception poétique d’Ephrem Le Syrien – Par le Père François Cassingena-Trévedy o.s.b.
Les Etudes Araméennes aux XIXe siècle – Par Jean-Baptiste Chabot
Les Syriaques, du Christ à Mohammed – Une conférence de Mr. Christian Mesnard
“Malheur à nous qui avons péché” – Un texte de Saint-Ephrem traduit par le Père François Cassingena-Trévedy o.s.b.
Nous demandons pour les Chrétiens d’Irak une solution humaine! – Par Hanna Père Anis
The Holy Spirit as “Clothing” : An imagery of the Holy Spirit in the Early Syriac Theology – Par le Père Emmanuel Kaniyamparampil du Kérala
Un regard sur les études syriaques au milieu du XXè siècle – Par Dom D. Rousseau o.s.b.

Copyright © 2006 [Cercle Catholique Syriaque – Qui sommes-nous?] -Toutes reproductions ou adaptations d’un extrait quelconque de ces informations par quelque procédé que ce soit, réservés à leurs auteurs pour tous pays.

Patrologia Orientalis: volúmenes actuales

Si hacemos caso a la noticia, la Patrologia Orientalis, publicada por Brepols, irá al día de hoy en el Tomo III fascículo 3. Estos son los datos del fascículo mencionado:

PATROLOGIA ORIENTALIS
C. Renoux (éd.)
L’hymnaire de Saint-Sabas (Ve-VIIIe siècle):
Le manuscrit géorgien H 2123. I
Du Samedi de Lazare à la Pentecôte

Dès sa fondation en 483, le Couvent de Saint-Sabas s’est trouvé placé dans la dépendance de la liturgie grecque de la Ville Sainte : l’ordination sacerdotale de Sabas, premier higoumène de la Grande Laure, par l’évêque Sallustios de Jérusalem, et la dédicace par ce dernier de la première
église du Couvent du désert de Judée, y ont implanté les textes grecs de la liturgie hagiopolite du Ve siècle. Traduits en géorgien par les moines qui s’y trouvaient déjà à cette époque, les hymnes du culte hiérosolymitain ont été conservés en cette langue par de nombreux manuscrits. Ecritsur papyrus et parchemin, le H 2123 du IXe-Xe siècle, conservé à l’Institut des Manuscrits K. Kekelidze de Tbilisi, est le plus ancien témoin de l’hymnographie hagiopolite pascale, comme le manifestent ses liens avec la version géorgienne du Lectionnaire de Jérusalem du Ve-VIIIe siècle, mais aussi le premier exemple d’une adaptation de cette hymnographie cathédrale à un contexte monastique.

approx. 150 p., 180 x 265 mm, 2008,
PO 224 (50, 3), PB,
Ref. 17140004
approx. €50
Date de publication prévue
pour janvier 2008

Si buscamos en el catálogo electrónico, encontraremos prácticamente todos los volúmenes y fascículos, inclusive desde el número uno. Los precios son súmamente accesibles, aunque en el caso de los más antiguos, aunque se menciona que son ediciones originales, no sería vano indagar si se tratan de las primeras impresiones, o son reimpresiones -facsímiles- de los mismos.

Los precios no son tan exagerados como podría suponerse -fascículo por fascículo- aunque pretender adquirir toda la serie completa de un solo tajo es algo que está quizá poco menos que fuera del alcance de cualquier particular.

Para muestras, toma del último y primer grupo de resultados:

Search Result

Author
Title
Medium
Published
Series
Renoux (ed.) L’hymnaire de Saint-Sabas (Ve-VIIIe siècle) : Le manuscrit géorgien H 2123 PB 03/2008 Patrologia Orientalis 224
Tedros Abraha (ed.) Il Gädl di Abuna Demyanos, santo eritreo (XIV-XV sec.) PB 08/2007 Patrologia Orientalis 223 (50,2)
Youssef (ed.) A Homily on Severus of Antioch by a Bishop of Assiut.(XV Century) PB 01/2007 Patrologia Orientalis 222 (50,1)
Renoux (ed.) Le lectionnaire de Jérusalem en Arménie, le Casoc’. III. Le plus ancien casoc’ cilicien, le Erévan 832 PB 03/2005 Patrologia Orientalis 221 (49, 5)
Youssef (ed.) The arabic Life of Severus of Antioch attributed to Athanasius of Antioch (Athanasius of Antioch (Ps.)) PB 01/2005 Patrologia Orientalis 220 (49,4)
Colin (ed.) La version éthiopienne de l’histoire de Bsoy PB 06/2002 Patrologia Orientalis 219 (49.3)
Colin (ed.) L’homélie sur l’église du Rocher, attribuée à Timothée Aelure PB 09/2001 Patrologia Orientalis 218 (49.2)
Boud’hors (ed.) L’homélie sur l’église du Rocher, attribuée à Timothée Aelure< /td>

PB 08/2001 Patrologia Orientalis 217 (49,1)
Lamoreaux (ed.) The Life of Timothy of Kakhushta PB 06/2001 Patrologia Orientalis 216 (48,4)
Colin (ed.) Le synaxaire éthiopien. PB 09/1999 Patrologia Orientalis 215 (48.3)

Search Result

Author
Title
Medium
Published
Series
Revillout (ed.) Les Apocryphes coptes PB 01/1904 Patrologia Orientalis 7 (2.2)
Evetts (ed.) History of the Patriarchs of the Coptic Church of Alexandria PB 01/1904 Patrologia Orientalis 4 (1.4)
Kugener (ed.) Vie de Sévère (Zacharie le Scholiastique) PB 01/1904 Patrologia Orientalis 6 (2.1)
Perruchon (ed.) Le Livre des mystères du ciel et de la terre PB 01/1903 Patrologia Orientalis 1 (1.1)

Greg.

[Useful files] Bartolocci 'Bibliotheca magna rabbinica' – Galilei 'Le opere di Galileo Galilei'

Simplemente delicioso:

Type : texte imprimé, monographie
Auteur(s) : Galilei, Galileo (1564-1642)
Titre(s) : Le opere di Galileo Galilei [Texte imprimé] : edizione nazionale sotto gli auspicii di sua maesta il re d’Italia / [pubblicata da Antonio Favaro, Isidoro del Lungo, V. Cerruti, G. Govi, G. V. Schiaparelli, Umberto Marchesini]
Publication : Firenze : G. Barbera, 1890-1909
Description matérielle : 20 tomes en 21 vol. ; in-4

Comprend : I. Juvenilia ; II. Fortificazioni. Mecaniche ; III. 1. Sidereus nuncius ; III. 2. I pianeti medicei ; IV. Delle cose che stanno in su l’acqua ; V. Delle macchie solari ; VI. Delle comete ; VII. I due massimi sistemi del mondo ; VIII. Le nuove scienze ; IX. Scritti letterarii ; X-XVIII. Carteggio ; XIX. Documenti e narrazioni biografiche di contemporanei ; XX. Indici e supplementi

Autre(s) auteur(s) : Favaro, Antonio (1847-1922). Éditeur scientifique
Del Lungo, Isidoro (1841-1927). Éditeur scientifique
Govi, Gilberto (1826-1889). Éditeur scientifique
Schiaparelli, Giovanni Virginio (1835-1910). Éditeur scientifique

Notice n° : FRBNF30476052

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ype : texte imprimé, monographie

Auteur(s) : Bartolocci, Giulio
Titre(s) : Bibliotheca magna rabbinica de scriptoribus, et scriptis hebraicis, ordibe alphabetico hebraicè, et latine digestis [Microforme] / auctore D. Julio Bartoloccio de Celleno,…
Edition : [Reprod.]
Publication : Cambridge (Mass.) : Omnisys, [ca 1990]
Description matérielle : 2 microfilms ; 35 mm
Collection : Italian books 1601-1700 ; 34.1-2
Lien à la collection : Italian books 1601-1700
Note(s) : Texte en latin et en hébreu. – Date d’éd. du microfilm provenant d’un catalogue d’éditeur
Reproduction : Reprod. de l’éd. de, Romae : ex typ. Sacrae Congregationis de propaganda fide, 1675. 4 vol.)
Sujet(s) : Littérature hébraïque — Histoire et critique — Bibliographie — Ouvrages avant 1800
Littérature hébraïque — Auteurs juifs — Histoire et critique — Ouvrages avant 1800
Juifs — Biobibliographie

Notice n° : FRBNF37258713

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[Useful Hints] Gallica: valor añadido – Servicio de FTP disponible

Bien, el día de hoy, al estar por descargar los pdfs de los dictionarios en el post anterior mencionados [de Gallica1], me encuentro con este mensaje:

Le document que vous avez demandé est prêt.
Il est structuré au format PDF.
Il contient 535 pages.
Sa taille est de 56565433 octets.

Vous pouvez le télécharger en cliquant ici.
Utiliser le clic droit et “Enregistrer le lien sous…” pour Netscape ou “Enregistrer la cible sous…” pour Internet Explorer

Le fichier ne restera disponible que deux jours sur le serveur.


Gallica est doté d’un serveur FTP permettant la reprise du transfert de données après interruption.
Pour exploiter cette fonctionnalité, vous devez utiliser un logiciel de transfert FTP.

Les paramètres de connexion sont les suivants:
serveur = ftp.bnf.fr
compte = anonymous
mot de passe = aucun
chemin du fichier = ftp://ftp.bnf.fr/020/N0206749_PDF_1_535.pdf

Esto significa que el servidor de contenidos de Gallica hace una copia del archivo en un directorio en el servidor de ftp, permitiéndonos descargar de allí el volumen que consultamos. Según reza el aviso, hay un límite de 2 días para descargarlo. Este archivo, por ejemplo, mide algo así como 50 megas. Si se tiene una conexión lenta a internet, puede conectarse entonces directamente al servidor ftp, y con un cliente como ws_ftp de la ipswitch, descargarlo en tandas. Si se cuenta con conexión telefónica entonces también será factible hacer la descarga, armándose solamente de la paciencia necesaria para ello.

No recuerdo haber visto antes este mensaje, y me parece que esta opción no está disponible en la versión de Gallica2. Esperemos que siga brindándose el servicio, al menos mientras estén ejecutándose ambos proyectos simultáneamente.

Greg.

[Useful Files] Migne & Sevestre: Dictionnaires

En la red ed2k podemos encontrar los siguientes volúmenes, de Sevestre, y su Diccionario de Patrología:

Sevestre-Diccionario patrologia 100.pdf

sevestre-diccionario patrologia 1000.pdf

Sevestre-Diccionario patrologia 1100.pdf

Sevestre-Diccionario patrologia 1200.pdf

Sevestre-Diccionario patrologia 200.pdf

Sevestre-Diccionario patrologia 300.pdf

Sevestre-Diccionario patrologia 400.pdf

Sevestre-Diccionario Patrologia 500.pdf

Sevestre-Diccionario patrologia 600.pdf

Sevestre-Diccionario patrologia 700.pdf

Sevestre-Diccionario patrologia 800.pdf

Sevestre-Diccionario patrologia 900.pdf

Esta edición fué lanzada teniendo como punto de partida una distribución de archivos basada en grupos de 100 páginas cada una.

En Gallica podemos encontrar la misma obra, pero según la distribución original: 4 volúmenes.

Type : texte imprimé, monographie
Auteur(s) : Sevestre, A. (Abbé)
Titre(s) : Dictionnaire de patrologie ou Répertoire historique, bibliographique, analytique et critique des saints pères, des docteurs… [Texte imprimé] / par l’abbé A. Sevestre,… ; publ. par M. l’abbé Migne,…
Publication : Petit-Montrouge : J.-P. Migne, 1851-1855
Description matérielle : 4 vol. ; in-4
Collection : Nouvelle encyclopédie théologique ; 20-23
Comprend : I. A-C. – 1851 ; II. D-G. – 1852 ; III. H-M. – 1854 ; IV. N-Z. – 1855

Autre(s) auteur(s) : Migne, Jacques-Paul (1800-1875). Éditeur scientifiqueTitre alternatif : Répertoire historique, bibliographique, analytique et critique des saints pères, des docteurs…
Sujet(s) : Pères de l’Église — Encyclopédies

Notice n° : FRBNF31358087

Liste des volumes Voir la notice


Consulter l'ouvrageT. 1 A-C
Consulter l'ouvrageT. 2 D-G
Consulter l'ouvrageT. 3 H-M
Consulter l'ouvrageT. 4 N-Z
Hace algunos días compartimos los links para descarga desde Googlebooks del “Dictionnaire des hérésies, des erreurs et des schismes”, de Pluquet. Gallica cuenta también con una versión en 2 volúmenes, igualmente disponible para su descarga.

Type : texte imprimé, monographie
Auteur(s) : Pluquet, François-André-Adrien (1716-1790)
Titre(s) : Dictionnaire des hérésies, des erreurs et des schismes, ou Mémoires pour servir à l’histoire des égarements de l’esprit humain par rapport à la religion chrétienne [Texte imprimé] / par Pluquet,… ; augm… continué jusqu’à nos jours… rev. et corr… par M. l’abbé J.-Jh. Claris,…. suivi : 1 ̊ d’un Dictionnaire nouveau des jansénistes… / par M. l’abbé***** ; publ. par l’abbé Migne,…
Publication : Petit-Monrouge : aux Ateliers catholiques, 1847
Description matérielle : 2 vol. ; gr. in-8
Collection : Encyclopédie théologique ; 11-12

Autre(s) auteur(s) : Migne, Jacques-Paul (1800-1875). Éditeur scientifiqueTitre alternatif : Mémoires pour servir à l’histoire des égarements de l’esprit humain par rapport à la religion chrétienne
Sujet(s) : Hérésies chrétiennes — Dictionnaires

Notice n° : FRBNF31124757

_________________________ Sous-notice [1] _________________________
Auteur(s) : James, Aimé François (Abbé)
Titre(s) : Dictionnaire nouveau des jansénistes… [Texte imprimé]

Liste des volumes Voir la notice


Consulter l'ouvrageT. 1
Consulter l'ouvrageT. 2
Y noticia más curiosa aún, dentro de la biblioteca de teología que emprendió el abate Migne, se incluye este dictionario de título sensacionalista:

Dictionnaire des sciences occultes…
ou Répertoire universel des êtres,
des personnages, des livres…
qui tiennent aux apparitions,
aux divinations à la magie…
Type : texte imprimé, monographie
Auteur(s) : Collin de Plancy, Jacques Auguste Simon (1794-1881)
Titre(s) : Dictionnaire des sciences occultes… ou Répertoire universel des êtres, des personnages, des livres… qui tiennent aux apparitions, aux divinations à la magie… [Texte imprimé] / [Jacques Auguste Simon Collin de Plancy]
Titre d’ensemble : Encyclopédie théologique / publ. par M. l’abbé Migne ; 48-49
Lien au titre d’ensemble : Encyclopédie théologique
Publication : [Paris] : Ateliers catholiques du Petit-Montrouge, 1846-1848
[Paris] : Impr. de Vrayet de Surcy
Description matérielle : 2 vol. (1072, 1160 col.) ; 27 cm
Note(s) : Contient in extenso le texte du “Dictionnaire infernal”. – Ed. très proche du “Dictionnaire des sciences occultes” contenu dans les collections de la BNF sous la cote D-3619 (48-49). – Appendices

Autre(s) auteur(s) : Migne, Jacques-Paul (1800-1875). Directeur de publicationTitre alternatif : Répertoire universel des êtres, des personnages, des livres…qui tiennent aux apparitions, aux divinations à la magie…
Titre d’usage : Dictionnaire infernal
Sujet(s) : Démonologie — Dictionnaires
Occultisme — Dictionnaires

Notice n° : FRBNF39116806

Liste des volumes Voir la notice


Consulter l'ouvrageT. 1 : A-LY
Consulter l'ouvrageT. 2 : MA-ZU

Una vez descargados los compartiré algunas semanas desde mi incoming. Alguna duda o aclaración favor de contactarnos.

EN: This is a notice about some volumes founded in the Gallica website, two of these are the Dictionnaires what a few days ago we can find and download of Googlebooks: The ‘Dictionnaire des hérésies, des erreurs et des schismes’ writing by Pluquet, and the ‘Dictionnaire de patrologie ou Répertoire historique, bibliographique, analytique et critique des saints pères, des docteurs…’, by Sevestre, who has too some pdf’s files in the ed2k network, but ordered with a different system: groups of 100 pages each one.

The third is a curious ‘Dictionnaire des sciences occultes… ou Répertoire universel des êtres, des personnages, des livres… qui tiennent aux apparitions, aux divinations à la magie…’ by Collin de Plancy, Jacques Auguste Simon; included too in the edition of the Encyclopédie théologique, with the numbers 48-49.

Greg.

Patrologia Griega, una noticia curiosa [Sobre Rosetta].

En un blog se pregunta -no ociosamente, diré- cuánto estaríamos dispuestos a pagar por la Patrología Griega.

Lo de los precios lo comenté en su momento en el quodago, pero el dato de los medios es interesantísimo:

“Update 12/15/07 A friend has informed me that Migne’s PG is available from Reltech for the bargain price of $400: $300 for the material and $100 for the 200 CDs to provide the material! Thankfully they’ve switched to DVD but they are still charging $100. Libraries pay $3000. It is only page scans but they claim to be working on providing a full text edition in the future.”

Si los 5 discos de la edición electrónica de la PL me parecen excesivos, no quiero imaginar lo que sería manejar 200 cds para consultar la obra.

[USEFUL FILE] Migne – Dictionnaire des hérésies

DICTIONNAIRE DES HÉRÉSIES, DES SCHISMES, DES AUTEURS ET DES LIVRES
JANSENISTES, DES OUVRAGES MIS A L’INDEX, DES PROPOSITIONS
CONDAMNÉES PAR L’ÉGLISE, ET DES OUVRAGES
CONDAMNÉS PAR LES TRIBUNAUX
FRANçAIS.

TOME SECOND.

Publiée
PAR M. L’ABBÉ MIGNE,
ÉDITEUR DE LA BIBLIOTHÉQUE UNIVERSELLE DU CLERGÉ

En cuanto tenga el vínculo al primer tomo [si existe] lo publico.

Greg.

[As soon as i have the link to the first volume, i’ll publish it].

ADDITA: Difícil de encontrar, pero aquí está:

DICTIONNAIRE DES HÉRÉSIES, DES SCHISMES, DES AUTEURS ET DES LIVRES
JANSENISTES, DES OUVRAGES MIS A L’INDEX, DES PROPOSITIONS
CONDAMNÉES PAR L’ÉGLISE, ET DES OUVRAGES
CONDAMNÉS PAR LES TRIBUNAUX
FRANçAIS.

TOME PREMIER.

Publiée
PAR M. L’ABBÉ MIGNE,
ÉDITEUR DE LA BIBLIOTHÉQUE UNIVERSELLE DU CLERGÉ

[Useful sites] Gallica and Gallica2

The 2 sites are running together, but the second versions seems more useful, but have, anyway, some limitations.

The version 2 includes a ‘account’ feature that allows to save our records in a personalized list, for a quick access, view or download. This service is open to all the community, and is not necessary to have an id or acces-card of the library.


The first version of Gallica don’t include the feature ‘create account’. Is more simple, and the navigation must be a little difficult.

The second version has changed even the colors of bottoms, and the menu navigation is distributed more efficiently.


The custom library, made with our favorite volumes is designed to locate easy and quickly the volumes saved. The list, as long as i can see, only allows to display 10 titles per page…


The account creation is very very easy. Inclusive, is not necessary at all to have an e-mail working, the format ask for it, but the activation of the account is immediate.

Greg.

Patrologia Orientalis – A list

Patrologia Orientalis : A list of older volumes and contents


Published Paris : Firmin-Didot; then Brepols.
Editors: Graffin, R. (René), 1856-1941; Nau, François, 1864-1931; Max, Prince of Saxony, 1870-1951; then Francois Graffin.

1. 1904. 705 p.

I. Le livre de mystères du ciel et de la terre / texte éthiopien publié et traduit par J. Perruchon
II. History of the patriarchs of the Coptic church of Alexandria (S. Mark to Benjamin I) / Arabic text edited, translated and annotated by B. Evetts. Sawirus ibn al-Muqaffa` (Bishop of el-Ashmunein).
III. Le synaxaire arabe jacobite (rédaction copte) / texte Arabe publié, traduit et annoté par René Basset
IV. Le synaxaire éthiopien : les mois de sanê, hamlê et nahasê / par Ignazio Guidi. I, Mois de Sanê

2. 1907. 688 p. Texts in Coptic, Ethiopic, Greek, Latin and Syrian

I – Vie de Sévère d’Antioch, par Zacharie le scholastique,
II – Les apocryphes coptes: Les évangiles des douze apotres et de saint Barthélemy / E. Revillout,
III – Vie de Sévère, par Jean, supérieur du monastère de Beith Apithonia / M.A. Kugener,
IV – Les versions grecques des actes des martyrs persans sous Sapor II / H. Delehaye S.J.,
V – Le livre de Job: version éthiopienne – Francisco Maria Esteves Pereira

3. 1909. 646 p. Texts in Arabic, Ethiopic and Syriac

I – Histoire d’Ahoudemmeh et de Marouta, métropolitains Jacobites de Tagrit et de l’Orient; traité d’Ahoudemmeh / F. Nau,
II – Réfutations d’Eutychius, par Sévère, évêque d’Aschmounaïn / P. Chébli,
III – Le synaxaire arabe Jacobite / René Basset,
IV – Sargis d’Aberga, controverse Judéo-Chrétienne / S. Grébaut et I. Guidi

4. 1908. 725 p. Texts in Arabic, Ethiopic, Greek, Latin and Syriac

I – Les “Homilies Cathedrales” de Sévère d’Antioch. traduction syriaque de Jacques d’Édesse ; publiée et traduite. Homélies LII-LVII / Rubens Duval,
II – Les plus anciens monuments du Christianisme écrits sur papyrus / C. Wessely,
III – Histoire nestorienne inédite : (chronique de Séert). Première partie. (I) / Addaï Scher et J. Périer,
IV – La cause de la fondation des écoles, par Mar Barhadbsabba `Arbaya ; texte syriaque publié et traduit / Addaï Scher,
V – Histoire de S. Pacome (une rédaction inédite des Ascetica) : texte grec des manuscrits Paris 881 et Chartres 1754 / avec une traduction de la version syriaque et une analyse du manuscrit de Paris suppl. grec 480 / J. Bousquet et F. Nau
VI. Histoire de Saint Jean-Baptiste attribuée à Saint Marc l’évangéliste ; texte grec publié avec traduction française [par F. Nau].
VII. Le miracle de S. Michel à Colosses : (récit de Saint Archippos), texte grec publié avec l’ancienne traduction Latine, composée au Mont Athos par le moine Léon (XIe-XIIe siècle), par F. Nau
VIII. The conflict of Severus, Patriarch of Antioch, by Athanasius ; Ethiopic text edited and translated by Edgar J. Goodspeed ; with the remains of the Coptic versions by W.E. Crum

5. 1910. 807 p. Texts in Arabic, Armenian and Syriac

I – History of the Patriarchs of the Coptic church of Alexandria. III, Agathon to Michael I (766) Arabic text edited, translated and annotated by B. Evetts,
II – Histoire nestorienne : (chronique de Séert). Première partie. (II), publiée par Addaï Scher ; traduite par Pierre Dib
III – Le synaxaire arménien de Ter Israël / publié et traduit par G. Bayan ; avec le concours de Max de Saxe. I, Mois de navasard
IV – Kitab al-`unvan = Histoire universelle, écrite par Agapius (Mahboub) de Menbidj ; éditée et traduite en français par Alexandre Vasiliev. Première partie (I)
V – Les légendes syriaques d’Aaron de Saroug, de Maxime et Domèce, d’Abraham, maître de Barsoma et de l’empereur Maurice / texte syriaque édité et traduit par F. Nau. Les miracles de Saint Ptolémée / texte arabe édité et traduit par L. Leroy

6. 1911. 704 p. Texts in Arabic, Armenian, Ethiopic, Greek, Latin and Syriac

I – The hymns of Severus and others in the Syriac version of Paul of Edessa as revised by James of Edessa / E.W. Brooks,
II – Le synaxaire Arménien de Ter Israël. II, Mois de hori / G. Bayan,
III – Les trois derniers traités du livre des mystères du ciel et de la terre. texte éthiopien publié et traduit / S. Grébaut,
IV – L’histoire des conciles de Sévère ibn al Moqaffa (second livre) / L. Leroy et S. Grébaut,
V – Vie d’Alexandre l’Acémète. texte grec et traduction latine / E. de Stoop

7. 1911. 802 p. Texts in Arabic, Coptic, and Syriac

I – Traités d’Isaï le docteur et de Hnana d’Abiabène sur les martyrs, le vendredi d’or et les rogations, et de foi a réciter par les évéques nestoriens avant l’ordination / Addaï Scher,
II – Histoire nestorienne (Chronique de Séert). Seconde partie (I) / Addaï Scher,
III – Le synaxaire Éthiopien: les mois de sanê, hamlê et nahasê / I. Guidi,
IV – Kitab al-‘Unvan = Histoire universelle / écrite par Agapius (Mahboub) de Menbidj ; editée et traduite en français. Seconde partie. (I)/ A.A. Vasiliev,
V – The hymns of Severus and others in the Syriac version of Paul of Edessa as revised by James of Edessa (II) / E.W. Brooks

8. 1912. 780 p. Texts in Arabic, Greek and Syriac

I – Jean Rufus, Évëque de Maïouma – Plérophories, c’est-a-dire témoignages et révélations (contre le concile de Chalcédoine) version syriaque et traduction française / F. Nau,
II – Les homiliae cathedrales de Sévère d’Antioche, version syriaque de Jacques d’Édesse. Homélies LVIII à LXIX, éditées et traduites en français / M. Briere,
III – Kitab al’Unvan. Histoire universelle, écrite par Agapius de Menbidj. Seconde partie. (II) / A.A. Vasiliev,
IV – La version arabe des 127 canons des apotres, texte arabe, en partie inédit, publié et traduit en français d’après les manuscrits de Paris, de Rome et de Londres / J. Périer et A. Périer,
V – La didascalie de Jacob, première assemblée : texte grec, original du Sargis d’Aberga (P. O., III, 4) / F. Nau

9. 1913. 677 p. Texts in Coptic, Ethiopic and Syriac

I – Le livre d’Esther, version éthiopienne / Francisco Maria Esteves Pereira,
II – Les Apocryphes coptes: II, Acta Pilati / Dr E. Revillout,
III – Le testament en Galilée de notre-seigner Jésus-Christ / L. Guerrier et S. Grébaut,
IV – Le syntax Éthiopien: les mois de sanê, hamlê, nahasê et pâguemên / I. Guidi et S. Grébaut,
V – La seconde partie de l’histoire ecclésiastique de Barhadbesaba ‘Arbaïa et une controverse de Théodore de Mopsueste avec les Macédoniens: te
xte syriaque édité et traduit / F. Nau

10. 1915. 674 p. Texts in Arabic, Latin and Syriac

I – Un martyrologie et douze Ménologes syriaques / F. Nau,
II – Les Ménologes des Évangéliaires coptes-arabes / F. Nau,
III – Le calendrier d’Aboul-Barakat: texte arabe, édité et traduit / Eug. Tisserant,
IV – Les fêtes des melchites, par Al-Bîrounî; Les fêtes des coptes par Al-Maqrizi; Calendrier maronite par Ibn al-Qola’i. textes arabes édités et traduits / R. Griveau,
V – History of the Patriarchs of the Coptic church of Alexandria. IV, Mennas I to Joseph (849) / B. Evetts
VI – Ammonii Eremitae epistolae / syriace edidit et praefatus est Michael Kmoskó
Index for tomes 1-10

11. 1915. 859 p. Texts in Arabic, Greek and Syriac

I – Kitab al-‘Unvan. Histoire universalle écrite par Agapius (Mahboub) de Menbidj. Première partie. (II) / Al. Vasiliev,
II – La vie de saint Luc le Stylite (879-979), texte grec édité et traduit / Fr. Vanderstuyf,
III – Histoire d’Isaac, patriarche Jacobite d’Alexandrie de 686 à 689, écrite par Mina, évêque de Pchati ; texte copte édité et traduit en français / E. Porcher,
IV – Ammonas, successeur de saint Antoine, textes grecs et syriaques édités et traduits / Fr. Nau,
V – Le synaxaire arabe Jacobite: (rédaction copte). III, Les mois de toubeh et d’amchir. texte arabe publié, traduit et annoté / René Basset

12. 1919. 802 p.

I – Les Homiliae cathedrales de Sévère d’Antioche: traduction syriaque de Jacques d’Édesse (suite). Homélies LXX à LXXVI, éditées et traduites en français par Maurice Brière
II – A collection of letters of Severus of Antioch : from numerous Syriac manuscripts. edited and translated by E.W. Brooks
III – Histoire des sultans mamlouks, par Moufazzal ibn Abil-Fazaïl ; texte arabe publié et traduit en français par E. Blochet
IV – Les miracles de Jésus. texte éthiopien publié et traduit par Sylvain Grébaut
V – Eis epideixin tou apostolikou kerygmatos = The proof of the apostolic preaching : with seven fragments : Armenian version par S. Irenaeus ; edited and translated by Karapet ter Mekerttschian and S.G. Wilson ; with the co-operation of Prince Maxe of Saxony

13. 1919. 738 p. Texts in Ethiopic, French, Latin and Syriac

I – Sargis d’Aberga, controverse Judéo chrétienne (fin). texte éthiopien publié et traduit / S. Grébaut,
II – Documents pour servir a l’histoire de l’église Nestorienne: I. Quatre homélies de Saint Jean Chrysostome, II. Textes monophysites – Homélies d’Érechthios, Fragments divers, Extraits de Timothée Ælure, de Philoxène, de Bar Hébraeus, III. Histoire de Nestorius …, Conjuration de Nestorius contre les migraines / textes syriaques édités et traduits / F. Nau,
III – Logia et agrapha domini Jesu : apud Moslemicos scriptores, asceticos praesertim, usitata / collegit, vertit, notis instruxit Michaël Asin et Palacios. Fasciculus prior
IV – Histoire nestorienne inédite : (Chronique de Séert). Seconde partie. (II) / Addai Scher et Robert Griveau,
V – Le troisième livre d’Ezrâ (Esdras et Néhémie cononiques) : version éthiopienne, editée et traduite en français / E. Pereira

14. 1920. 855 p. Texts in Arabic, Coptic, Ethiopic and Syriac

I – A collection of letters of Severus of Antioch, from numerous Syriac manuscripts / E.W. Brooks,
II – The life of Abba John Kamé, Coptic text edited and translated from the Cod. Vat. Copt. LX. / M.H. Davis,
III – Mufazzal Ibn Abil – Fazaïl. Histoire des sultans Mamlouks, texte arabe publié et traduit en français,
IV – Sei scritti antitreistici in langua siriaca / G. Furlani,
V – Les miracles de Jésus, texte Éthiopien publié et traduit en français / S. Grébaut
“Index to the Letters of Severus and appendix (t. xii, fasc. 2 and t. xiv, fasc. 1)”: p. [845]-855 (also numbered p. [481]-491)

15. 1927. 798 p. Texts in Arabic, Armenian, Ethiopic, Greek and Latin

I – Documents relatifs au concile de Florence. I, La question du Purgatoire à Ferrare. Documents I-VI / Louis Petit,
II – Les trophées de Damas: controverse judéo-chrétienne du VIIe siècle / texte grec édité et traduit / G. Bardy,
III – Le synaxaire Arménien de Ter Israêl : III, Mois de sahmi/ G. Bayan,
IV – Sancti Philoxeni Episcopi Mabbugensis Dissertationes decem de uno e sancta Trinitate incorporato et passo / textum syriacum edidit latineque vertit Mauritius Brière. Dissertatio Ia et IIa
V – Le synaxaire Éthiopien: les mois de mois de tahschasch, ter et yakatit. IV, Le mois de tahschasch / S. Grébaut

16. 1922. 862 p. Texts in Arabic, Armenian, Greek, Latin and Syriac

I – Le synaxaire arménien de Ter Israel: IV, Mois de tré / G. Bayan,
II – Le synaxaire arabe Jacobite: (rédaction copte). IV, Les mois de barmahat, barmoudah et bachons / René Basset,
III – Homélies mariales Byzantines: textes grecs / édités et traduits en latin / M. Jugie,
IV – La perle précieuse: traitant des sciences ecclésiastiques (chapitres I-LVI), par Jean, fils d’Abou-Zakariyâ, surnommé Ibn Sabâ` ; texte arabe publié et traduit / J. Périer,
V – Les homiliae cathedrales de Sévère d’Antioche (suite). Homélie LXXVII, texte grec édité et traduit en français, versions syriaques publiées pour la première fois / M.-A. Kugener & Edg. Triffaux

17. 1923. 857 p. Texts in Arabic, Ethiopic, Greek, Latin and Syriac

I – John of Ephesus. Lives of the eastern saints. I. / E.W. Brooks,
II – Documents relatifs au concile de Florence. II, Oeuvres anticonciliares de Marc d’Éphèse : documents VII-XXIV / Mgr L. Petit,
III – Le synaxaire arabe Jacobite : (rédaction copte). V, Les mois de baounah, abib, mesoré et jours complémentaires / René Basset,
IV – Les miracles de Jésus: texte éthiopien publié et traduit. III. / S. Grébaut

18. 1924. 833 p. Texts in Armenian, Coptic, Greek and Syriac

I – Le synaxaire arménien de ter Israël: V, Mois de kalotz / G. Bayan,
II – Le livre de Job: : version copte bohaïrique / E. Porcher,
III – Les plus anciens monuments du christianisme écrits sur papyrus: textes grecs édités, traduits et annotés. II. / C. Wessely,
IV – John of Ephesus. Lives of eastern saints. II. / E.W. Brooks,
V – Histoire de Yahya-ibn-Sa’ïd d’Antioche continuateur de Sa’ïd-ibn-Bitriq / J. Kratchkovsky et A. Vasiliev

19. 1926. 741 p. Texts in Arabic, Armenian, Georgian, Greek, Latin and Syriac

I – Le synaxaire arménien de ter Israël. VI, Mois de aratz / G. Bayan,
II – John of Ephesus. Lives of the eastern saints. III. / E.W. Brooks,
III – Homélies mariales byzantines. II / M. Jugei,
IV – Logia et agrapha Domini Jesu : apud Moslemicos scriptores, asceticos praesertim, usitata / collegit, vertit, notis instruxit Michaël Asin et Palacios. Fasciculus alter
V – Le sy
naxaire Géorgien: rédaction ancienne de l’union arméno-géorgienne; publié et traduit d’après le manuscrit du Couvent Iviron du Mont Athos / N. Marr

20. 1929. 826 p. Texts in Arabic, Georgian, Latin and Syriac

I – Moufazzal Ibn Abil-Fazaïl. Histoire des sultans Mamlouks. texte arabe publié et traduit en français / E. Blouchet,
II – Les homeliae cathedrales de Sévère d’Antioche: traduction syriaque de Jacques d’Édesse. Homélies LXXVIII à LXXXIII / M. Brière,
III – The old Georgian version of the gospel of Mark: from the Adysh Gospels with the variants of the Opiza and Tbet’ Gospels; edited with a Latin translation / Robert P. Blake,
IV – Livre de la lampe des ténèbres et de l’exposition (lumineuse) du service (de l’église), par Abû`l-Barakât connu sous le nom d’Ibn Kabar ; texte arabe édité et traduit / L. Villecourt, Mgr Tisserant, G. Wiet,
V – Le synaxaire arabe Jacobite: (rédaction copte). VI, Additions et corrections ; Tables / F. Nau
“Table des matières des tomes XI à XX”: p. 796-826 (also numbered 6-38)

21. 1930. 870 p. Text in Armenian with parallel translation in French

I-VI – Le Synaxaire arménien de Ter Israël / publié et traduit par G. Bayan. VII, Mois de méhéki — Le Synaxaire arménien de Ter Israël / publié et traduit par G. Bayan. VIII, Mois de areg — Le Synaxaire arménien de Ter Israël / publié et traduit par G. Bayan. IX, Mois de ahékan — Le Synaxaire arménien de Ter Israël / publié et traduit par G. Bayan. X, Mois de maréri — Le Synaxaire arménien de Ter Israël / publié et traduit par G. Bayan. XI, Mois de margats — Le Synaxaire arménien de Ter Israël / publié et traduit par G. Bayan. XII, Mois de hrotits — Le Synaxaire arménien de Ter Israël / publié et traduit par G. Bayan. Jours avéleats

22. 1930. 888 p. Texts in Arabic, Greek, Slavic and Syriac

I – Voyage du Patriarche Macaire d’Antioche: texte arabe et traduction française / Basile Radu,
II – Les homiliae cathedrales de Sévère d’Antioch: traduction syriaque de Jacques d’Édesse (suite). Homélies XCIX à CIII; éditées et traduites en français / Ignazio Guidi,
III – The Arabic life of S. Pisentius: according to the text of the two manuscripts Paris Bib. Nat. Arabe 4785, and Arabe 4794 / edited with English translation / De lacy O’Leary,
IV – Le candélabre des sanctuaires de Grégoire Aboulfaradj dit Barhebraeus, édité et traduit en français / Jean Bakos,
V – Le “De autexusio” de Méthode d’Olympe; version slave et texte grec édités et traduit en français / A. Vaillant

23. 1932. 771 p.

I – Les Homiliae cathedrales de Sévère d’Antioche; traduction syriaque de Jacques d’Édesse (suite). Homélies LXXXIV à XC; editées et traduites en français par Maurice Brière
II – La première partie de l’Histoire de Barhadbesabba `Arbaïa; texte syriaque édité et traduit par F. Nau
III – Histoire de Yahya-ibn-Sa`ïd d’Antioche, continuateur de Sa`ïd-ibn-Bitriq; éditée et traduite en français par I. Kratchkovsky et A. Vasiliev. Fascicule II
IV – Les Paralipomènes, livres I et II : version éthiopienne; éditée et traduite par Sylvain Grébaut, d’après les manuscrits 94 de la Bibliothèque nationale et 35 de la collection d’Abbadie

24. 1933. 801 p. Texts in Arabic, Coptic, Georgian, Greek, Latin and Slavic

I – the old Georgian version of the gospel of Matthew: edited with a Latin translation / Robert P. Blake,
II – Le lectionnaire de la semaine sainte: texte copte édité avec traduction française d’après le manuscrit Add. 5997 du British Museum / O.H.E. Burmester,
III – Le candélabre des sanctuaires de Grégoire Aboulfaradj dit Barhebraeus. II. / Ján Bakos,
IV – Voyage du patriarche macaire d’Antioche. II. / Basile Radu,
V – Euchologium Sinaiticum: texte slave avec sources grecques et traduction française / Jean Frek

25. 1943. 814 p. Texts in Coptic, Greek, Slavic and Syriac

I – Les Homiliae cathedrales de Sévère d’Antioch. Homélies XCI à XCVIII / Maurice Brière,
II – Le lectionnaire de la semaine sainte. II. / O.H.E. Burmester,
III – Euchologium sinaiticum. / Jean Frcek
IV – Les homiliae cathedrales de Sévère d’Antioche. Homélies CIV à CXII / Maurice Brière

26. 1950. 720 p. Texts in Arabic, Ethiopic, Georgian, Greek, Latin and Syriac

I – Le synaxaire Éthiopien / Sylvian Grébaut,
II – La liturgie de Saint Jacques / Dom B.-Ch. Mercier,
III – Les homiliae cathedrales de Sévère d’Antioche / Maurice Brière,
IV – The old Georgian version of the gospel of John / Robert P. Blake, Maurice Brière,
V – Voyage du patriarche macaire d’Antioche / Basile Radu

27. 1957. 626 p. Texts in Armenian, Georgian, Greek, Latin and Syriac

I-II – Hippolyte de Rome / Maurice Brière, Louis Mariès et B.-Ch. Mercier,
III – La version Géorgienne ancienne de l’évangile de Luc / Maurice Brière,
IV – Le candélabre du sanctuaire de Grégoire Aboul’ Faradj dit Barhebraeus / François Graffini

28. 1959. 776 p. Texts in Armenian, Coptic, Greek, and Syriac

I – Les six centuries des “Kephalaia Gnostica” d’Évagre le pontique / édition critique de la version syriaque commune et édition d’une nouvelle version syriaque, intégrale, avec une double traduction française par Antoine Guillaumont
II – Le grand euchologe du Monastère Blanc / Emmanuel Lanne,
III – Eznik de Kolb, de deo, édition critique du texte arménien / Louis Mariès et Charles Mercier,
IV – Eznik de Kolb, de deo, traduction française, notes et tables / Louis Mariès et Charles Mercier

29. 1961. 869 p. Texts in Georgian, Latin and Syriac

I – Les homiliae cathedrales de Sévère d’Antioch.Introduction générale à toutes les homélies. Homélies CXX à CXXV éditées et traduites en français / Maurice Brière,
II – the old Georgian version of the Prophets. Petits prophètes. Critical ed. with a Latin translation / Robert Pierpoint Blake & Canon Maurice Brière,
III – id. Isaïe,
IV – id. Jérémie,
V – id. Ézéchiel et Daniel

30. 1963. 894 p. Texts in Armenian, Georgian, Latin and Syriac

I – Hymnes de saint Éphrem conservées en version arménienne. Texte arménien, traduction latine et notes explicatives / Louis Mariès et Charles Mercier,
II – Le candélabre du sanctuaire de Grégoire Aboulfaradj dit Bar Hebraeus. Septième base, Des démons / texte syriaque édité pour la première fois avec traduction française. / Micheline Albert,
III – The old Georgian version of the Prophets [5], Apparatus criticus / Robert P. Blake et Maurice Brière,
IV – Le candélabre du sanctuaire de Grégoire Aboulfaradj dit Bar Hebraeus. Cinquième base, Des anges / texte syriaque édité pour la première fois et traduction française / Antoine Torbey,
V – La lettre à Patricius d’Édesse de Philo
xène de Mabboug. édition critique du texte syriaque et traduction française / René Lavenant
Table des matières des tomes XXI à XXX

31. 1966. 616 p.

I. Le candélabre du sanctuaire de Grégoire Abou’lfaradj dit Barhebraeus. Quatrième base, De l’incarnation / texte syriaque édité pour la première fois avec traduction française par Joseph Khoury
II. Les Canons d’Hippolyte / édition critique de la version arabe, introduction et traduction française par René-Georges Coquin
III. Barsanuphius and John, questions and answer / critical edition of the Greek text with English translation by Derwas James Chitty

32. 1966. 490 p.

I. Soma Deggua : antiphonaire du Carême, quatre premières semaines. fasc. 1-2. Texte éthiopien avec variantes — fasc. 3-4.
Introduction, traduction française, transcriptions musicales / Velat, Bernard

33. 1966. 712 p.

I. Études sur le Me`eraf, commun de l’office divin éthiopien / Velat, Bernard

34. 1968. 716 p. [Last in Paris]

I. Me`eraf : commun de l’office divin éthiopien pour toute l’année / texte éthiopien avec variantes par Bernard Velat
II. Homélies de Narsaï sur la création / édition critique du texte syriaque, introduction et traduction française par Philippe Gignoux

35. 1970. 692 p. [Brepols]

I. Le codex arménien Jérusalem 121. I, Introduction aux origines de la liturgie hiérosolymitaine, lumières nouvelles / par Athanase Renoux
II. Le candélabre du sanctuaire de Grégoire Abou’lfaradj dit Barhebraeus. Dixième base, De la résurrection / texte syriaque édité pour la première fois avec traduction française par Élise Zigmund-Cerbü
III. Les Homiliae cathedrales de Sévère d’Antioche / traduction syriaque de Jacques d’Édesse (suite). Homélies XLVI à LI / éditées et traduites en français par M. Brière et F. Graffin
IV. Textes coptes relatifs à saint Claude d’Antioche. Four Coptic texts, with French translations, from the Coptic manuscript
no. 587 in the Pierpont Morgan Library, New York. French tr. / par Gérard Godron

36. ????. 676 p.

I. Les Homiliae cathedrales de Sévère d’Antioche / traduction syriaque de Jacques d’Édesse (suite). Homélies XL à XLV / éditées et traduites en français par M. Brière et F. Graffin
II. Le codex arménien Jérusalem 121. II, Édition comparée du texte et de deux autres manuscrits / introduction, textes, traduction et notes par Athanase Renoux
III. Les Homiliae cathedrales de Sévère d’Antioche / traduction syriaque de Jacques d’Édesse (suite). Homélies XXXII à XXXIX / éditées et traduites en français par M. Brière, F. Graffin et C.J.A. Lash
IV. Les Homiliae cathedrales de Sévère d’Antioche / traduction syriaque de Jacques d’Édesse (suite). Homélies XXVI à XXXI / éditées et traduites en français par M. Brière et F. Graffin

37. 1975. 179, lxx, 355 p.

I. Les Homiliae cathedrales de Sévère d’Antioche / traduction syriaque de Jacques d’Édesse (suite). Homélies XVIII à XXV / éditées et traduites en français par M. Brière et F. Graffin
II. Memre sur Nicomédie / Éphrem de Nisibe ; édition des fragments de l’original syriaque et de la version arménienne, traduction française, introduction et notes par Charles Renoux

38. 1976. 728 p.

I. Homélies contre les Juifs / Jacques de Saroug ; édition critique du texte syriaque inédit, traduction française, introduction et notes par Micheline Albert
II. Les Homiliae cathedrales de Sévère d’Antioche / traduction syriaque de Jacques d’Édesse. Homélies I à XVII / éditées et traduites en français par M. Brière et F. Graffin ; avec la collaboration de C.J.A. Lash et J.-M. Sauget
III. Sancti Philoxeni Episcopi Mabbugensis Dissertationes decem de uno e sancta Trinitate incorporato et passo. II, Dissertationes 3a, 4a, 5a / textum syriacum ediderunt latineque verterunt M. Brière et F. Graffin
IV. Trois homélies syriaques anonymes et inédites sur L’Épiphanie / introduction, texte syriaque et traduction française par Alain Desreumaux

39. 1978. 764 p.

I. Nouveaux fragments arméniens de l’Adversus haereses et de l’Epideixis / Irénée de Lyon ; introduction, traduction latine et notes par Charles Renoux
II. Lettre de Sophrone de Jérusalem à Arcadius de Chypre : version syriaque inédite du texte grec perdu / introduction et traduction française par Micheline Albert ; avec la collaboration de Christoph von Schönborn
III. La collection des lettres de Jean de Dalyatha / édition critique du texte syriaque inédit, traduction française, introduction et notes par Robert Beulay
IV. Sancti Philoxeni Episcopi Mabbugensis Dissertationes decem de uno e sancta Trinitate incorporato et passo (Memre contre Habib). III, Dissertationes 6a, 7a, 8a / édition critique du texte syriaque inédit et traduction française par M. Brière et F. Graffin

40. 1979. 723 p.

I. Narsai’s metrical homilies on the Nativity, Epiphany, Passion, Resurrection, and Ascension : critical edition of Syriac text / English translation by Frederick G. McLeod
II. Sancti Philoxeni Episcopi Mabbugensis Dissertationes decem de uno e sancta Trinitate incorporato et passo. IV, Dissertationes 9a, 10a / édition critique du texte syriaque inédit et traduction française par M. Brière et F. Graffin
III. Le candélabre du sanctuaire de Grégoire Abou’lfaradj dit Barhebraeus. Douzième base, Du paradis : suivie du Livre des rayons, traité X / texte syriaque édité pour la première fois avec traduction française par Nicolas Séd

41. 1984. 533 p.

I. Sancti Philoxeni Episcopi Mabbugensis Dissertationes decem de uno e sancta Trinitate incorporato et passo (Memre contre Habib). V, Appendices: Tractatus, Refutatio, Epistula dogmatica, Florigelium / édition critique du texte syriaque inédit et traduction française par M. Brière et F. Graffin
II. Barsabée de Jérusalem sur le Christ et les églises / Michel van Esbroeck
III. Le candélabre du sanctuaire de Grégoire Abou’lfaradj dit Barhebraeus. Onzième base, Du jugement dernier / texte syriaque édité pour la première fois avec traduction française par Nicolas Séd
IV. Homélies anonymes du VIe siècle : dissertation sur le Grand-Prêtre, homélies sur la pécheresse I, II, III / édition du texte syriaque inédit, introduction et traduction française par François Graffin

42. Homélies sur Job : version arménienne. I-XXIV / Hésychius de Jéruslaem ; édition, introduction et notes par Charles Renoux — Brefs chapîtres sur la Trinité et l’Incarnation / Al-Safi ibn al-‘Assal ; introduction, texte arabe et traduction, avec un index-lexique exhaustif par Khalil Samir

43. La
chaîne arménienne sur les Épîtres catholiques. I, La chaîne sur l’Épître de Jacques / Charles Renoux — Le candélabre de Grégoire Abou’lfaradj dit Barhebraeus. Neuvième base, Du libre arbitre / texte syriaque édité pour la première fois avec traduction française par Paul-Hubert Poirier — Le synaxaire éthiopien. Mois de maskaram / édition critique du texte éthiopien et traduction par Gérard Colin — Six homélies festales en prose / Jacques de Saroug ; édition critique du texte syriaque, introduction et traduction française par Frédéric Rilliet

44. Le synaxaire éthiopien. Mois de teqemt / édition critique du texte éthiopien et traduction par Gérard Colin — La chaîne arménienne sur les Épîtres catholiques. II, La chaîne sur les Épîtres de Pierre / par Charles Renoux — Le synaxaire éthiopien. Mois de hedar / édition critique du texte éthiopien et traduction par Gérard Colin — Le lectionnaire de Jérusalem en Arménie : le Casoc`. I, Introduction et liste des manuscrits / par Charles Renoux

45. Le synaxaire éthiopien. Mois de terr / édition critique du texte éthiopien et traduction par Gérard Colin — Lettre sur les trois étapes de la vie monastique / Joseph Hazzaya ; édition critique du texte syriaque et introduction par Paul Harb, François Graffin ; avec la collaboration de Micheline Albert — Le synaxaire éthiopien. Mois de Yakkatit / édition critique du texte éthiopien et traduction par Gérard Colin — Martyre de Pilate / édition critique de la version éthiopienne et traduction française par Robert Beylot

46. La chaîne arménienne sur les Épîtres catholiques. III, La chaîne sur la première épitre de Jean / par Charles Renoux — Le synaxaire éthiopien. Mois de maggabit / édition critique du texte éthiopien et traduction française par Gérard Colin — Le synaxaire éthiopien. Mois de miyazya / édition critique du texte éthiopien et traduction française par Gérard Colin

47. A metrical homily on holy Mar Ephrem / by Mar Jacob of Sarug ; critical edition of the Syriac text, translation and introduction by Joseph P. Amar — La chaîne arménienne sur les épîtres catholiques. IV. La chaîne sur 2-3 Jean et Jude / par Charles Renoux — Le synaxaire éthiopien. Mois de genbot / édition critique dy texte éthiopien et traduction française par Gérard Colin — Histoire de Yahya ibn Sa`id d’Antioche / édition critique du texte arabe préparée par Ignace Kratchkovsky ; et traduction française annotée par Françoise Micheau et Gérard Troupeau

48. Atti di Banadlewos (1303-1400) / edizione del testo etiopico e traduzione italiana di Osvaldo Raineri — Le lectionnaire de Jérusalem en Arménie : le Casoc`. II, Édition synoptique des plus anciens témoins / par Charles Renoux — Le synaxaire éthiopien. Index généraux ; Annexes / par Gérard Colin — The life of Timothy Kakhusht / two Arabic texts edited and translated by John C. Lamoreaux and Cyril Cairala

49. L’homélie sur l’église du Rocher / attribuée à Timothée Ælure (2 v.)

This text was assembled from library catalogues by Roger Pearse, Ipswich, UK, 2005. All material on this page is in the public domain – copy freely.

Labels, el gran problema

Al tratar de encontrar los contenidos de las patrologías tanto en Googlebooks como en Gallica, tropecé con el problema casi ineludible de las etiquetas, o ‘labels’.

Hay 2 autores que me ‘obsesionan’ sobremanera: Venerabilis Beda, y Boetium. Ambos tienen sus respectivos lugares en la PL de Migne, y ambos son difíciles de localizar en Googlebooks. Empero, la búsqueda de 5 horas tuvo su resultado, llegué al tomo que guarda ‘De musica’ y ‘De Arithmetica’ de Boetium, y al tomo XCI del primero. Esperaré a que alguien publique el tomo XC, que es el que más me interesa del historiador venerable.

Mientras hacer un rastreo que muestre todo lo que hay sobre Migne es relativamente fácil con esos motores de búsqueda, encontrar a los autores por sus nombres, siquiera latinizados, supone un problema mayor. Igual problema se presenta en Gallica, para localizar la veintena de fascículos que ha sido posible encontrar hasta la fecha no sirivió la consulta a los índices digitalizados por nombre de obra ni autor.

Esto, por la simpleza [simpleza en Google…? Increíble, nó?] de ambos sitios en cuanto a estructurar las búsquedas en todos los volúmenes, o de todos los volúmenes.

El método usado por Google es simple: el título completo del volumen. Y aquí comienzan los quebraderos de cabeza para los usuarios, ya que al buscar ‘patrologia’ aparecerán tanto los libros de Migne de sus dos cursus, así como también cualquier libro o estudio que contenga en su título esa palabra. Si intentamos afinar un poco más la búsqueda, podemos escribir ‘cursus completus’, y veremos una treintena de volúmenes… pero todos rezan lo mismo: ‘Patrologia Latina cursus completus[…]”, y sígase así hasta completar el final del título. Las miniaturas de la primera página o fronstispico sirven de poco, es prácticamente ilegible el nombre del autor consignado en cada volumen, y sólo por aproximación podemos suponer que Venerabilis Beda tiene más letras que Leo I, o Isidorus.

Exactamente el mismo problema, a la inversa, lo encontramos en Gallica. No incluye las partes que son esenciales para localizar contenidos de manera rápida, y según el orden más o menos ‘escolar’ que acostumbramos: citando el nombre corto de la colección y el tomo.

Googlebooks incluye, con todo, una pequeña utilería que no ha sido utilizada por los usuarios: la posibilidad de crear labels personalizados, o dejar pequeñas anotaciones que, según lo que he podido observar, están disponibles para todos los usuarios. Estas pequeñas etiquetas podrían hacer que, si nos tomamos algunos minutos para llenarlas, estuvieran estructurados los tomos más o menos permitiendo de antemano encontrar el que nos interesa, o descartarlo de búsquedas ulteriores.

Existe otra, pero que aparece en la página de preview de los libros, hasta la parte inferior de la derecha, casi siempre oculta por la barrita de navegación lateral: reportar una página como ilegible. No sé qué seguimiento se le dará a esta opción, pero por lo pronto permite que no nos quedemos con el cargo de conciencia, sobre todo cuando son textos de los que una sola página supone una pérdida mayúscula.

Hay varios posts en distintos blogs que mencionan lo mismo: esa falta de información hace que uno de ellos suponga que harán falta ‘algunos días lluviosos’ para ponerse a buscar y rebuscar y encontrar todo lo publicado por el googlebooks project.

http://www.fathersofthechurch.com/2006/10/08/its-all-greek-%e2%80%94-and-all-online/

http://shrinkinguni.blogspot.com/2006/10/patrologia-graeca-at-google-books.html

http://philgons.com/2007/12/mignes-patrologia-graeca-in-logos/

Aquí en esta parte de México no llueve tanto: serán días soleados, a punto de asarse o cocernos en nuestro propio jugo.

Greg.