Book. Valentin. Saint Prosper d’Aquitaine : étude sur la littérature latine ecclésiastique au cinquième siècle en Gaule. 1900.

Saint Prosper d’Aquitaine : étude sur la littérature latine ecclésiastique au cinquième siècle en Gaule

Author: Valentin, L [?-?]
Publication date: 1900
Topics: Prosper, of Aquitaine, Saint, ca. 390-ca. 463
Publisher: Paris: A. Picard
Collection: pimslibrary; toronto
Digitizing sponsor: University of Toronto
Contributor: PIMS – University of Toronto
Language: French

Book. Quentin. Les martyrologes historiques du Moyen-Âge : étude sur la formation du martyrologe romain. 1908.

Les martyrologes historiques du Moyen-Âge :

étude sur la formation du martyrologe romain

Author: Quentin, Henri, 1872-1935
Publication date: 1908
Topics: Bede, the Venerable, Saint, 673-735, Florus, of Lyons, d. 860, Ado, Saint, Archbishop of Vienne, ca. 800-875, Catholic Church, Martyrologies, Hagiography, Christian saints
Publisher: Paris : V. Lecoffre : J. Gabalda
Collection: pimslibrary; toronto
Digitizing sponsor: University of Toronto
Contributor: PIMS – University of Toronto
Language: French

Includes bibliographical references and indexes

Etat de la critique des martyrologes historiques — Le martyrologe de Béde — Le martyrologe poétique d’Achery — Le martyrologe lyonnais du manuscrit latin 3879 de la Bibliothèque National — Le martyrologe de Florus de Lyon — Le “Vetus” ou “Parvum Romanum” — Le martyrologe d’Adon

Book. Alfaric. L’évolution intellectuelle de sain Augustin. Du manichéisme au néoplatonisme. 1918.

L’évolution intellectuelle de saint Augustin

Author: Alfaric, Prosper, 1876-1955
Publication date: 1918-
Topics: Augustine, Saint, Bishop of Hippo
Publisher: Paris, E. Nourry
Collection: robarts; toronto
Digitizing sponsor: msn
Contributor: Robarts – University of Toronto
Language: French
Volume: 1 [Only this written/published?]
Subject, theme: 1. Du manichésime au néoplatonisme

Book. Lebreton. Histoire du dogme de la Trinité des origines au Concile de Nicée. Volumes 1 and 2. 1910.

Histoire du dogme de la Trinité des origines au Concile de Nicée

Author: Lebreton, Jules, 1873-1956
Publication date: 1910
Topics: Trinity
Publisher: [Paris, G. Beauchesne & cie]
Collection: pimslibrary; toronto
Digitizing sponsor: University of Toronto
Contributor: PIMS – University of Toronto
Language: French
Volumes: 1 and 2

Tome Ier. Les origines

Tome II. De Saint Clément a Saint Irénée

Book. Alfaric. Les écritures manichéennes. Volumes 1 and 2. 1918-1919.

Les écritures manichéennes

Author: Alfaric, Prosper, 1876-1955
Publication date: 1918-1919
Topics: Manichaeism, Christianity and other religions
Publisher: Paris, E. Nourry
Collection: pimslibrary; toronto
Digitizing sponsor: University of Toronto
Contributor: PIMS – University of Toronto
Language: French
Volumes: 1 and 2

I. Vue générale

II. Étude analytique

Book. Batiffol. L’Eglise naissante et le catholicisme. 1911.

L’Eglise naissante et le catholicisme

Author: Batiffol, Pierre, 1861-1929
Publication date: 1911
Publisher Paris: J. Gabalda
Collection: pimslibrary; toronto
Digitizing sponsor: University of Toronto
Contributor: PIMS – University of Toronto
Language: French

Book. Faye. Étude sur les origines des églises de l’âge apostolique. 1909.

Étude sur les origines des églises de l’âge apostolique

Author: Faye, Eugène de, 1860-1929
Publication date: 1909
Topics: Church history
Publisher: Paris, E. Leroux
Collection: pimslibrary; toronto
Digitizing sponsor: University of Toronto
Contributor: PIMS – University of Toronto
Language: French

Book. Baunard. Histoire de saint Ambroise. 1872.

Histoire de saint Ambroise

Author: Baunard, Mgr., 1826-1919
Publication date: 1872
Topics: Ambrose, Saint, Bishop of Milan, d. 397
Publisher Paris : Ch. Poussièlgue
Collection pimslibrary; toronto
Digitizing sponsor: University of Toronto
Contributor: PIMS – University of Toronto
Language French
Includes bibliographic footnotes

Quote. Tim Denecker. Augustin et la préhistoire linguistique. 2019.

Si les Pères de l’Église, tout comme leurs prédécesseurs et leurs contemporains, les exégètes juifs (rabbins), voulaient exposer leurs idées sur l’histoire des langues, il y avait quelques passages bibliques qu’il était impossible d’ignorer. D’abord celui du chapitre 2 du livre de la Genèse, où Dieu charge Adam de nommer les créatures. Ensuite, le chapitre 10 de la Genèse, où la population du monde dans la protohistoire de l’humanité est divisée en différentes langues et différents peuples. Enfin le chapitre 11 de la Genèse, où l’origine de la diversité linguistique est expliquée à l’aide de l’histoire de la tour de Babel. La combinaison de ces deux derniers passages engendre un certain nombre de problèmes exégétiques. D’un côté, la logique demanderait que le chapitre 10 de la Genèse, où la diversité linguistique est mentionnée comme un fait établi, vienne après le chapitre 11, celui qui explique l’origine de la diversité linguistique. De l’autre, à part ces quelques passages, les informations données dans la Bible sur la préhistoire linguistique sont très ténues. Des récits mentionnés on peut déduire seulement qu’il y avait une seule langue originelle jusqu’au moment où ceux qui avaient construit la tour de Babel furent punis, et que c’est de cette langue que s’était nécessairement servi Adam. Or, nulle part dans le récit biblique il n’est dit explicitement que la langue originelle de l’humanité était l’hébreu. Dans l’exégèse juive, cette idée provient du fait que, dans la Bible, les discours directs insérés dans le récit se trouvent écrits en hébreu, et l’opinion selon laquelle l’hébreu était la langue originelle fut adoptée de bonne heure par les auteurs chrétiens, d’abord grecs, ensuite latins. Sur le développement précis de l’origine de la diversité linguistique, la Bible n’offre guère d’informations (par exemple, il n’y a pas de réponse aux questions « Combien de langues se sont développées ? » ou « Que s’est-il passé avec la langue originelle ? »). De cette façon, l’imprécision qui caractérise le récit biblique a donné lieu à des explications assez diverses chez les Pères de l’Église.

Une interprétation approfondie et de grande influence fut élaborée par un contemporain de Jérôme, déjà mentionné, Augustin, dans le livre XVI de son De civitate Dei, « La Cité de Dieu ». Il est important de noter que dans cet ouvrage Augustin prend comme point de départ l’opposition fondamentale et durable entre « bons » et « mauvais » à travers l’histoire de l’humanité. Dans la terminologie d’Augustin, il s’agit d’une opposition entre la « cité céleste » ou la « cité de Dieu » (la civitas Dei) et la « cité terrestre » ou la « cité des hommes » (la civitas terrena). Il va de soi que dans ce modèle ce sont les habitants de la dernière qui sont les « mauvais ». Au dire d’Augustin, avant la construction de la tour de Babel, il n’y avait qu’une seule langue, et celle-ci était connue comme « la langue humaine » (humana lingua) ou « le parler humain » (humana locutio). Or, du vivant de Heber, figure vétérotestamentaire, les « mauvais » commençaient à bâtir une tour à Babel, entreprise qui provoqua la punition divine, brouilla et divisa leur langue unique. Ce bouleversement de la communication mit fin à la construction de la tour, mais marqua aussi l’origine d’une diversité ethnolinguistique parmi les êtres humains. Selon Augustin, immédiatement après l’intervention divine, on comptait divers peuples, chacun avec sa propre langue, au nombre de 72, nombre qui revêtait une grande importance symbolique dans la tradition juive et biblique, et qui avait été transmis à Augustin par la voie de plusieurs auteurs chrétiens, grecs et latins. Avec le temps, ces 72 langues continuaient à évoluer et à se diviser, mais selon Augustin le nombre de peuples s’accrut beaucoup plus vite que le nombre de langues, comme – écrit-il – également « en Afrique » (d’où lui-même était originaire) « nous connaissons bien des peuples barbares n’ayant qu’une seule langue »; par « barbare », Augustin veut dire « non grec et non latin ». Quant à l’opposition, déjà mentionnée, entre cité céleste et cité terrestre, selon Augustin, la figure d’Heber, personnage juste, appartenait à la « cité céleste » ou « cité de Dieu ». Heber n’avait pas participé à la construction de la tour de Babel et, par conséquent, il ne méritait pas d’être puni. Comme le châtiment de Dieu consistait précisément en la division de la seule langue originelle, celle-ci fut conservée, mais exclusivement dans la famille du juste Heber et de ses descendants. Contrairement à la période avant les événements de Babel, dès cet instant il y eut plusieurs langues, et on éprouva le besoin d’un nom spécifique pour désigner la langue originelle, dépourvue jusque-là de nom. La langue fut nommée « l’hébreu », lingua hebraea – le terme hebraeus venant, selon Augustin, du nom propre « Heber ».

Jusqu’au xviie siècle, l’interprétation par Augustin de la préhistoire linguistique a persisté comme modèle canonique. Tous les érudits, ou peu s’en faut, qui voulaient disserter sur l’histoire du langage humain s’en tenaient aux idées d’Augustin qui, on le sait, sont restées très influentes aussi dans d’autres domaines.

Tim Denecker. “Généalogie linguistique et comparaison des langues chez Jérôme : une vue d’ensemble”. Semitica et Classica – International Journal of Oriental and Mediterranean Studies, 12, pp. 146-147. Brepols. 2019.

Nota in pede. Gaëlle Jeanmart. Que faisait Dieu avant de faire le ciel et la terre ? 2006.

Dans le livre XI, le problème du temps est abordé en corrélation directe avec celui de la création. La première problématisation de ce concept de temps, le premier dilemme ou la première polémique d’Augustin est celle de savoir ce « que faisait Dieu avant de faire le ciel et la terre ? » [X. 12] La « polémique » vise d’abord les manichéens. Un passage de la Cité de Dieu où il aborde ce même problème montre en effet qu’il répond ici à deux catégories d’objectants. Aux manichéens qui posent un monde sans commencement qui n’a pas été créé par Dieu, Augustin répond que tout ce qui est est l’oeuvre de Dieu, le monde lui-même étant également une création. Ensuite aux néo-platoniciens qui lui demandent alors ce qui pouvait bien précéder cette création-là, Augustin leur rétorque qu’il ne faut pas parler en termes de précédence de quelque chose qui viendrait « avant » la création puisque si tout ce qui est, est l’oeuvre de Dieu, le temps a lui aussi été créé par Dieu et il n’y avait pas d’ « avant » la création puisque « avant » est lui-même création : « Oui, comment d’innombrables siècles auraient-ils pu passer, sans que toi-même tu les aies faits, alors que tu es l’auteur et le créateur de tous les siècles ? » [XI, XIII,15]. Ou encore : « Il n’y a donc eu aucun temps où tu n’aies fait quelque chose, puisque le temps lui-même, c’est toi qui l’as fait » [XI, XIV, 17]. Le temps n’est pas plus que la matière quelque chose qui vient s’imposer de l’extérieur et ordonner à ses caractéristiques l’acte de création ; tout comme la matière, le temps est un outil que Dieu s’est donné pour créer le monde. Non qu’il soit dépendant du temps ou de la matière mais plutôt qu’il nous ait créés comme êtres matériels et temporels.

Gaelle Jeanmart, “Herméneutique et subjectivité dans les Confessions d’Augustin”, III. Lire à la Volonté de Dieu: La Cure de la Volonté dans l’exégèse Biblique, ‘Les solitudes de la lecture’, Nota in pede 285, pp. 185-186. Brepols, Monothéismes et Philosophie, 8. 2006.

Corpus Christianorum. Series Latina and Continuatio Mediaevalis.

The Internet Archive with the collaboration of Kahle/Austin Foundation [Digitizing sponsor] released several volumes of the Corpus Christianorum, Series Latina and Continuatio Mediaevalis, taken directly from the “Trent University Library Donation“.

The project in its current status does not include the whole collections from the Corpus Christianorum, but the page where the details of this initiative are displayed statues that is an ‘on progress project’:

The donation of books to the Internet Archive for digitization has allowed Trent University students and faculty to continue to have access to resources once held at the Bata Library and at the same time provide access to readers worldwide through the Open Libraries Controlled Digital Lending program. The material is now held in the physical collection of the Internet Archive, and will appear here in digital form as they are digitized and made available to borrow.

A permanent page is now available with the volumes listed under the Series Latina and Continuatio Mediaevalis respectively.

About the Series Graeca: only a single and alone volume is now available. “Corpvs Christianorvm, Series Graeca, 2: Catenae Graecae in Genesim et in Exodvm, I. Catena Sinaitica.”, but was labeled ambiguously as ‘Catenae Graecae in Genesim et in Exodum’.

Please note all these volumes were digitized in May and August months, 2019, and the list of available volumes has been not updated with new contents.

San Isidoro de Sevilla. Etimologías. [Edición bilingüe, tomos I y II]. BAC. 1982.

SAN ISIDORO DE SEVILLA

ETIMOLOGÍAS

EDICIÓN BILINGÜE

Texto latino, versión española y notas por

José Oroz Reta
Catedrático de Filología Latina
Universidad Pontificia de Salamanca

y

Manuel-A. Marcos Casquero
Profesor numerario de Filología Latina
Universidad de Salamanca

INTRODUCCIÓN GENERAL POR

MANUEL C. DIAZ Y DIAZ
Catedrático de Filología Latina
Universidad de Santiago de Compostela

Biblioteca de Autores Cristianos
Madrid, MCMLXXXII

La gran obra de Isidoro, la que le dio fama y prestigio durante siglos y aquella con la que se le identifica todavía hoy, son las Etimologías. En esta vasta enciclopedia se encuentran reunidos, bajo los lemas de vocablos usuales o infrecuentes, todos los campos del saber antiguo explicados mediante la justificación de los términos que los designan. Es un compendio de conocimientos clasificado según temas generales, con interpretación de las designaciones que reciben los seres y las instituciones, mediante mecanismos etimológicos, esto es, buscando en la forma y en la historia de las palabras una doble llave: la de la denominación en sí misma y, a través de ella, la del objeto o ser que la recibe. Constituye así una especie de explicación por procedimientos lingüísticos de cuanto existe, y sirve a la vez como modo de conocer y comprender mejor el universo, y como recurso profundo para una más correcta y completa inteligencia de los textos antiguos en que estos vocablos aparecen utilizados o aludidos.

Etimologias : edicion bilingüe
by Isidore, of Seville, Saint, d. 636
Publication date : 1982
Topics : Encyclopedias and dictionaries — Early works to 1600
Publisher : Madrid : Editorial Católica
Collection : inlibrary; printdisabled; trent_university; internetarchivebooks
Digitizing sponsor : Kahle/Austin Foundation
Contributor : Internet Archive
Language : Latin; Spanish
Volumes : 1 and 2

Volúmenes disponibles bajo la modalidad de ‘print-disabled’, esto es, para su lectura sin acceso a impresión, y bajo préstamo por 14 días utilizando una ‘credencial virtual’ de Internet Archive.

Volumen I disponible aquí.
Volumen II disponible aquí.