Koffmane. De Mario Victorino philosopho christiano. 1880.

De Mario Victorino philosopho christiano

(1880)

Author: Koffmane, Gustav, 1852-
Subject: Victorinus, C. Marius
Publisher: Vratislaviae Typis H. Lindner
Language: Italian
Call number: AGC-2168
Digitizing sponsor: University of Toronto
Book contributor: Robarts – University of Toronto
Collection: toronto

Nostri saeculi homiues in vitis eorum, qui historiae partes egerunt secundarias, per peculiares libros conscribendis ita versati solent, ut non immerito vir quidam criticus nuper hanc fere censuram tulerit: quando vitam personae minus praeclarae tot paginis descriptam legerit, ob oculos sibi constitisse statuam exilem ingenti super basi constructam. Idemne nunc diverticulum ingredior de Mario Victorino disputaturus? Historiam conversionis eius nos non tanti ducimus, quanti saecuii IV Christiani. Sed convertit se ad Christianismum philosophus inter omnes quotquot tunc in occidente fuerunt haud scio an princeps. Qui novae religionis assecla factus ut antea philosophicos ita tunc Christianos libros impigro stilo exaravit. Non exuit omnem paganitatem; dilucide igilur illa opuscula docent, quatenus Romanorum passim in Christiana castra transeuntium animi inter ethnica atque Christiana piacita versati sint. At Victorinus, ut philosophum decet, in circumscribendo systemate theologiae suae desudat; ecce tres inter se collctantes cogitandi normae: gentilis rhetor Romanus, qui in commentariis biblicis Vergilium citet et res mythologicas afferat; senex Christianus quem non fugiat ethica novae religionis gravitas, qui gaudeat legere scripturam sacram; philosophus, qui theologiam vere scientificam fundamentis philosophicis superstruere nitatur, qui dogmaticas illius temporis contentiones intellegere studeat. Adde quod scripta Nostri intellectu tam difficilia sunt, ut in enucleandis sensibus obscuris atque perplexis operarii vice fungi non infima laus sit.

Freppel. Saint Cyprien et l’église d’Afrique au IIIe siècle. 1873.

Título : Saint Cyprien et l’église d’Afrique au IIIe siècle : cours d’éloquence sacrée fait à la Sorbonne pendant l’année 1863-1864 (2e éd.) / par M. l’abbé Freppel,…

Autor : Freppel, Charles-Émile (1827-1891)

Editor : Bray et Retaux (Paris)

Fecha de publicación : 1873

Tema : Cyprien (saint ; 02..-0258)

Tipo : monographie imprimée

Idioma : Francés

Formato : 1 vol. (470 p.) ; in-8

Formato : application/pdf

Derechos : domaine public

Identificador : ark:/12148/bpt6k200316x

Fuente : Bibliothèque nationale de France

Relación : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304640995/description

Procedencia : bnf.fr

Saint Cyprien et l
Saint Cyprien et l’église d’Afrique au IIIe siècle : cours d’éloquence sacrée fait à la Sorbonne pendant l’année 1863-1864 (2e éd.) / par M. l’abbé Freppel,…
Source: Bibliothèque nationale de France

Brehaut. An encyclopedist of the Dark Ages, Isidore of Seville. 1912.

AN ENCYCLOPEDIST OF THE

DARK AGES

ISIDORE OF SEVILLE

In saeculorum fine doctissimus
(Ex conciliko Toletano viii, cap. 2)

BY

ERNEST BREHAUT, Ph. D.

1912.

The writer of the following pages undertook, at the suggestion of Professor James Harvey Robinson, to translate passages from Isidore’s Etymologies which should serve to illustrate the intellectual condition of the dark ages. It soon became evident that a brief introduction to the more important subjects treated by Isidore would be necessary, in order to give the reader an idea of the development of these subjects at the time at which he wrote. Finally it seemed worth while to sum up in a general introduction the results of this examination of the Etymologies and of the collateral study of Isidore’s other writings which it involved.

For many reasons the task of translating from the Etymologies has been a difficult one. There is no modern critical edition of the work to afiford a reasonable certainty as to the text; the Latin, while far superior to the degenerate language of Gregory of Tours, is nevertheless corrupt; the treatment is often brief to the point of obscurity; the terminology of ancient science employed by Isidore is often used without a due appreciation of its meaning. However, the greatest difficulty in translating has arisen from the fact that the work is chiefly a long succession of word derivations which usually defy any attempt to render them into English.

In spite of these difficulties the study has been one of great interest. Isidore was, as Montalambert calls him, le dernier savant du monde ancien, as well as the first Christian encyclopaedist. His writings, therefore, while of no importance in themselves, become important as a phenomenon in the history of European thought. His resort to ancient science instead of to philosophy or to poetry is suggestive, as is also the wide variety of his ‘sciences’ and the attenuated condition in which they appear. Of especial interest is Isidore’s state of mind, which in many ways is the reverse of that of the modern thinker.

It is perhaps worth while to remark that the writer has had in mind throughout the general aspects of the intellectual development of Isidore’s time : he has not attempted to comment on the technical details—whether accurately given by Isidore or not—of the many ‘ sciences that appear in the Etymologies. The student of the history of music, for example, or of medicine as a technical subject, will of course go to the sources.

The writer is under the greatest obligation to Professors James Harvey Robinson and James Thomson Shotwell for assistance and advice, as well as for the illuminating interpretation of the medieval period given in their lectures He is also indebted to Mr. Henry O. Taylor and Professors William A. Dunning and Munroe Smith for reading portions of the manuscript.

E. B.

Columbia University, New York, February, 1912.

Gabarrou. Arnobe, son oeuvre. 1921.

ARNOBE

SON OEUVRE

François GABARROU

Docteur ès lettres

PARIS

1921

Arnobe naquit en Afrique, dans la seconde moitié du troisième siècle. On a peu de détails sur sa vie. On sait seulement qu’il passa la plus grande partie de son existence à Sicca (aujourd’hui Le Kef) dans la Numidie Proconsulaire. Saint Jérôme rapporte que sous le règne de Dioclétien (284-305) il professa la rhétorique, et s’attira par sa science une réputation universelle; il eut Lactance pour élève dans cette même ville.
— Il était alors en guerre avec les chrétiens, puisque saint Jérôme affirme dans sa notice qu’il les avait toujours combattus. Et ceux-ci d’ailleurs devaient former déjà dès le milieu du troisième siècle un groupe assez important, puisqu’ils avaient un évêque à Sicca. Aux environs de sa cinquantième année probablement Arnobe se convertit. Il est assez difficile de donner la date exacte de sa conversion, que l’on fixe généralement à l’an 295 ou 296, mais on peut néanmoins en connaître les causes.
— Lui-même, sans s’en douter, nous les révèle au cours de son ouvrage.

Freppel. Les Pères de l’Église des trois premiers siècles. 1893.

Les

Péres de l’Église

des

TROIS PREMIERS SIèCLES

PORTRAITS ET NOTICES

EXTRAITS DU COURS D’ÉLOQUENCE SACRÉE

DE

Monseigneur FREPPEL.

PARIS.
1893.

Les pères de l
Les pères de l’Eglise des trois premiers siècles : portraits et notices extraits du cours d’éloquence sacrée / de monseigneur Freppel
Source: Bibliothèque nationale de France

Alès. La théologie de saint Hippolyte. 1906.

BIBLIOTHèQUE DE THÉOLOGIE HISTORIQUE
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DES PROFESSEURS DE THÉOLOGIE
A L’INSTITUT CATHOLIQUE DE PARIS

LA THÉOLOGIE

DE

SAINT HIPPOLYTE

PAR

ADHÉMAR D’ALèS

PRêTRE

PARIS.
1906.

L’histoire intellectuelle de Rome chrétienne, durant les siècles voisins des origines, offre peu de noms illustres; et son docteur le plus marquant, Hippolyte, l’Origène romain, n’a laissé lui-même qu’un souvenir équivoque. D’orthodoxie suspecte, et livré de bonne heure à l’oubli, il n’en devait sortir tardivement qu’au prix d’étranges métamorphoses; si bien que, lorsqu’on entreprend de restituer sa pensée, on doit commencer par le disputer à la légende. Personnage énigmatique, presque ignoré de l’Occident, auquel pourtant il appartient, il se présente au contraire dans la tradition orientale avec une multiple auréole : docteur, évêque, martyr. De ses très nombreux écrits, on ne possédait naguère que des lambeaux. L’édition donnée au commencement du dix-huitième siècle par Fabricius pouvait passer en son temps pour une merveille : aujourd’hui, nul ne saurait s’en contenter. La Question d’Hippolyte a été entièrement renouvelée par une série de découvertes remarquables, qui s’allonge encore de nos jours. A la suite de la publication des Philosophumena, Doellinger a, le premier, avec autant de sûreté que de hardiesse, marqué l’unité historique du personnage d’Hippolyte, dans un livre qui domine tous les travaux postérieurs. Depuis lors, l’épigraphie a éclairé certains détails mystérieux de la tradition occidentale ; MM. N. Bonwetsch et H. Achelis, viennent de nous rendre le Commentaire sur Daniel et d’autres fragments précieux; M. A. Bauer, une bonne partie du texte original de la Chronique. En attendant les surprises que nous réservent peut-être encore les éditeurs de Berlin, il est possible de jeter un regard d’ensemble sur la carrière de cet homme, remarquable à plus d’un titre. Nous l’essayerons dans ces pages, où nous ne prétendons pas retracer méthodiquement tout le travail critique accompli depuis un demi-siècle autour d’Hippolyte, ni même inventorier toutes les sources de son histoire.
Nous interrogerons successivement, sur la personne et sur l’oeuvre d’Hippolyte, la tradition littéraire, puis la tradition hagiographique, enfin le livre des Philosphumena, qui mérite dans cette étude une place à part.

Alès. La Théologie de Tertullien. 1905.

BIBLIOTHèQUE DE THÉOLOGIE HISTORIQUE
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DES PROFESSEURS DE THÉOLOGIE
A L’INSTITUT CATHOLIQUE DE PARIS

LA THÉOLOGIE

DE

TERTULLIEN

PAR

ADHÉMAR D’ALèS

PRêTRE

PARIS.
1905.

Les recherches sur Tertullien sont à l’ordre du jour en France : en moins de trois ans il vient d’être étudié du point de vue littéraire, du point de vue politique et moral et du point de vue archéologique. Déjà l’Allemagne lui avait consacré d’importants travaux, entre lesquels ceux de M. E. Noeldechen tiennent le premier rang par l’étendue et la variété. Une curiosité si vive s’explique par la valeur originale de l’œuvre et par son multiple retentissement dans la tradition de l’Église latine. Les secours ne manquent donc pas à qui entreprend de pénétrer la pensée du docteur africain. Nous avons abordé la synthèse de sa théologie, et sur ce terrain même on nous avait devancé. Dans son Cours de Sorbonne (1861-62), œuvre de doctrine sûre et de raison lumineuse, l’abbé Freppel a touché presque toutes les questions que soulève la lecture de Tertullien, et indiqué les solutions vraies, encore qu’il sacrifie quelquefois à un certain optimisme théologique, prompt à revendiquer pour la tradition des témoignages précaires. Nous n’avons pas entrepris de refaire ce livre excellent, mais bien de faire autre chose. Les longueurs et les digressions inséparables de l’enseignement oral no convenaient pas à un instrument de travail : notre livre ne veut être que cela.

Séjourné. Le dernier père de l’église, Saint Isidore de Seville; son rôle dans l’histoire du droit canonique. 1929.

Études de Théologie Historique
PUBLIÉES SOUS LA DIRECTION DES PROFESSEURS DE THÉOLOGIE
A L’INSTITUT CATHOLIQUE DE PARIS

LE DERNIER PèRE DE L’ÉGLISE

SAINT

ISIDORE DE SÉVILLE

Son Rôle

Dans l’Histoire du Droit Canonique

par Dom Paul SÉJOURNÉ

ÉLèVE DIPLòMÉ
DE L’ÉCOLE PRATIQUE DES HAUTES ÉTUDES HISTORIQUES

MCMXXIX

“Isidore de Séville, dit J. Tardif, a été le principal intermédiaire entre le monde romain et les nations germaniques qui avaient envahi l’Empire : c’est lui qui les a initiées aux connaissances scientifiques et grammaticales de la Grèce et de Rome, connaissances qui sont restées le fond de l’érudition du Moyen Age jusqu’au XIIe siècle. Ce qui est vrai de l’ensemble de la culture intellectuelle ne l’est pas moins des éléments de la science du droit : les Etymologies ont été, avec le Bréviaire d’Alaric, une des sources auxquelles on a longtemps puisé la connaissance des principes généraux de la législation romaine. L’œuvre [canonique] d’Isidore de Séville a été encore plus durable et presque toutes les notions juridiques contenues dans les Etymologies sont passées dans le Décret de Gratien… L’influence d’Isidore de Séville s’est fait sentir à la fois sur la législation canonique et sur les coutumes germaniques “.
De ces deux problèmes, que J. Tardif eût été plus à même que personne de mener à bon terme, et qui n’ont jamais été traités dans toute leur ampleur, le premier seul nous intéresse. Car le sujet du concours annuel de l’Université de Strasbourg, pour lequel ce mémoire a d’abord été rédigé, était ainsi conçu : Saint Isidore de Séville et son rôle dans l’histoire du droit canonique.

Boyer. Christianisme et Néo-Platonisme dans la formation de Saint Augustin. 1920.

Christianisme et Néo-Platonisme

dans

LA FORMATION DE SAINT AUGUSTIN

par

Charles Boyer.

Paris, Gabriel Beauchesne. 1920.

L’ardeur avec laquelle on s’est porté depuis près d’un siècle à l’étude de l’histoire des dogmes ne pouvait manquer de susciter un renouveau des études aug-ustiniennes. Le rôle de saint Augustin dans la formation de la théologie catholique est hors de pair. Il a recueilli l’héritage des grands docteurs qui l’avaient précédé, il a dégagé des pratiques traditionnelles les croyances qu’elles impliquaient, il a scruté lui-même pendant quarante-cinq années les sources scripturaires. De tant de richesses amassées, il a composé une synthèse puissante, où se trouvent intimement fondus les apports de la religion nouvelle et les acquisitions de la philosophie antique. Il est le docteur de la grâce et le docteur de la Trinité, dominant à la fois, avec une autorité incontestée, les discussions sur ce qu’il y a de plus délicat dans les enseignements pratiques du christianisme et sur ce qu’il y a de plus élevé dans sa spéculation. Il a été l’un des maîtres principaux du moyen âge. La réforme et le jansénisme se sont réclamés de lui. Aujourd’hui, son nom et ses textes remplissent les manuels et les traités des théologiens ; et dans les problèmes de l’apologétique, peu touchés au moyen âge, ses méthodes et ses solutions apparaissent étonnamment opportunes. Expliquer saint Augustin, son évolution et ses doctrines, ce serait avancer profondément dans la connaissance des sciences théologiques et de leur développement.

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christianismeetn00boye – Boyer. Christianisme et Néo-Platonisme dans la formation de Saint Augustin. 1920.

Allard. La persécution de Dioclétien et le triomphe de l’Église. 1900.

LA

PERSÉCUTION

DE DIOCLÉTIEN

ET

LE TRIOMPHE DE L’ÉGLISE

PAR

PAUL ALLARD

PARIS
1900.

Si l’on n’a pas tout à fait oublié le récit des persécutions qui sévirent aux deux premiers siècles, on se rappellera que les sources de leur histoire sont relativement peu nombreuses. En dehors des livres inspirés du Nouveau Testament, et de quelques écrits exceptionnels , comme la Didaché récemment découverte, ou le Pasteur, la littérature ecclésiastique était à peine née : l’effort de la pensée chrétienne se portait surtout vers l’enseignement oral, par la prédication ou la catéchèse; quand ses représentants les plus illustres prenaient la plume , c’était pour composer des ouvrages de circonstance , comme les épîtres de Clément, d’Ignace, de Polycarpe, ou les mémoires adressés aux empereurs par les apologistes. Ces derniers écrits ne prouvent pas seulement la persécution , contre laquelle ils élèvent une plainte éloquente : ils font plus, ils en donnent la vive image, l’impression douloureuse; leurs pages semblent parfois mouillées de sang. Mais (à part un passage de la seconde Apologie de saint Justin) ils ne s’arrêtent point aux incidents particuliers, et ne nomment aucun des héros chrétiens qui payèrent leur foi de leur vie. Cette discrétion des persécutés se retrouve plus grande encore , et pour des motifs assurément moins louables, chez les persécuteurs. Même dans les deux lettres célèbres échangées entre Pline et Trajan au sujet des chrétiens, et qui supposent l’existence de nombreux martyrs, aucun nom n’est relaté. Le reste de la littérature profane ne supplée pas au silence de ce document capital : un alinéa de Tacite, quelques mots obscurs de Dion Cassius et de Suétone, une allusion railleuse du satirique Lucien, laissent seuls voir que les grands écrivains de l’antiquité romaine ont entendu parler des souffrances des fidèles.

Si l’on veut obtenir sur ceux-ci des renseignements détaillés, il faut ouvrir les Actes ou Passions des martyrs. Mais, aux deux premiers siècles , ceux de ces documents qui paraissent authentiques et contemporains sont bien rares : à peine en pourrait-on compter cinq ou six. Pour le plus grand nombre des chrétiens dont les martyrologes ont enregistré les noms entre les règnes de Néron et de Commode, on est, semble-t-il, réduit aux renseignements tirés d’Actes de foi douteuse dans les détails ou de rédaction vague dans l’ensemble. Heureusement ces sources troublées elles-mêmes charrient un peu d’or sous une multitude de scories. Les diverses sciences auxiliaires de l’histoire, et en particulier l’archéologie, servent de pierre de touche pour le reconnaître.



Sparrow Simpson. St. Augustine and the African Church divisions. 1910.

The Donatist Communion was a most serious division in the North African Church. The actual separation occurred in Constantine’s reign ; but the circumstances causing it arose earlier out of Diocletian’s persecution. The first eighteen years of Diocletian’s lengthy reign formed for the Church at large a period of comparative peace. Persecutions, indeed, occurred in the dominions of one or other of the four rulers under whose administration the Empire was divided. But these attacks were only local and intermittent. Whatever the predilections of the subordinate Caesars, the old Emperor himself was, for political reasons, of a tolerant disposition. Christianity was believed in his palace and even in his family. Prisca, his wife, Valeria, his daughter, were, more or less distinctly, of the Christian faith. Christian convictions also prevailed among his most trusted servants. And the religion, thus existing in close proximity to the imperial presence, developed also in wider circles among the leading officials of the Empire at large. All this could scarcely be unknown, and it was tolerated for eighteen years. Then came a sudden change.

This book is available via Internet Archive, and was noticed in Donatismus too.

Article. Gumerlock. Nero AntiCrist: Patristic Evidence of the Use of Nero’s Name in Calculating the Number of the Beast.

THE NERO THEORY & THE PROBLEM OF PATRISTIC EVIDENCE
In Revelation 13:18 John says that the number of the beast is that of a man. For almost two centuries a multitude of scholars have suggested that the “man” was the Roman emperor Nero. Although according to certain authors the Nero identification is “the most widely accepted” interpretation, one of it main problems is the lack of substantiation for it in patristic literature. This paper introduces a fifth-century chronicle from North African Christianity, entitled Liber Genealogus or Book of Genealogy, that has bearing on the question of whether or not early Christians used Nero’s name in their calculations of the number of the beast. It will provide a translation of the relevant portion, contextualize and explain the passage, bring it into dialogue with a statement from Irenaeus, and discuss its implications for biblical studies.

Francis X. Gumerlock

Westminster Seminary Journal 68 (2006):347-360

[Noticed here with permission].
For more info, please his site at:
http://francisgumerlock.com/

NERO ANTICHRIST: Patristic Evidence of the Use of Nero’s Name in Calculating the Number of the Beast